Le soleil s'était levé, la rosée séchait paresseusement sous ses rayons mielleux.
Mon baluchon était rempli, un peu plus que lorsque j'ai claqué la porte de ma petite maisonnette.
La forêt s'annonçait devant moi, son sentier accueillant me fait signe de m'y engouffrer.
Je ne me posai pas de questions.
Maintenant que j'y repense, j'aurais dû m'en poser.
