J'aurais voulu vivre

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Une question fondamentale refait surface.
Tu cherches un idéal dans une glace
Tandis qu'en pensées, tu ne sais
Comment te conformer à la société.

Tu ne comprends pas ce que chacun
Aime, ou n'aime pas
Tu n'y peux rien
Alors tu es mis de côte
Et même si tu souris à moitié
On lit sur ton visage
Ta solitude
Tu as toujours été sage
Mais les autres sont rudes
Pourtant tu avances toujours
Calmement
Et passent les jours
Trop lentement

Les autres ne te regardent pas
Ils te détestent
Pour eux tu n'existes pas
Mais tu restes
Et quand tu rentres chez toi
Coule le sang
Que tu laisses s'évader de tes bras
En pleurant
Tu penses que tu n'es rien
Que tu es fou
Mais sache que pour certains
Tu es tout, tout...
Puis soudain, tu effaces
Ce que tu hais
Et sans laisser de traces
Tu disparais...

Tu ne savais plus quoi faire
Pour survivre
Tu tombes, d'une ultime prière
J'aurais voulu vivre.

Vie, mort et autres antithèsesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant