Cet os est parti en couille.
Il contient un lemon de 1000 mots (un peu moins).
Si vous souhaitez ne pas le lire, lire cet os ne sert à rien il prend la moitié de l'histoire. Je vous le signale quand même, si vous voulez tout de même le lire.
...
Libe avait tellement hâte de voir Guillaume. Ce dernier arrivait dans deux heures par le train.
Il allait passer 6 mois sur Toulouse pour son stage en audiovisuel. Il devait au départ loger chez Axel mais par problème de place et de bruit pour le stream il avait préféré prendre un appartement de manière provisoire.
Mais le fait de ne pas habiter ensemble n'était pas un problème cela ne les empêcherait en aucun cas de faire n'importe quoi ensemble chez l'un où chez l'autre ou même dehors.
De toute manière habiter ensemble risquait fortement de faire exploser l'appartement à cause de leurs conneries mutuelles.
En attendant Guill, Libe pensait à ce qu'il pourrait faire une fois que Guillaume aurai déposé ses affaires restantes dans son appartement.
Peut être juste se balader en déblatérant des conneries plus absurdes les unes que les autres.
Il s'occupa un peu, l'heure d'aller chercher Guill n'étant pas encore arrivé.
Puis réalisa 15 min avant de partir le chercher qu'il n'était qu'en caleçon t-shirt et qu'il fallait qu'il s'habille un minimum. Même si sortir dans cet accoutrement ne l'aurait guère dérangé mais il n'était pas sûr que la loi soit de son côté.
Puis même si ça aurait rendu Guill hilare, il voulait tout de même bien s'habiller du moins un minimum.
En parlant de ce dernier il ne savait plus comment le caractériser, était-il juste un ami ? Il ne pensait pas. La dernière fois même si Guill était totalement déboussolé à cause d'événement assez triste et dur émotionnellement ils avaient tout de même fait la connerie de s'embrasser et avait même commencer à se chauffer mutuellement avant que Libe réalisant que ce n'était pas forcément la bonne chose à faire arrêta tout ne voulant pas que Guill regrette. Ils avaient alors finit la journée dans les bras l'un de l'autre en pure amitié. Du moins c'est ce qu'espérait Libe. Car il n'avait pas rompu le contact ardent entre eux seulement pour Guill mais aussi pour lui. Il avait prit peur.
De plus le lendemain Guill ne semblait se souvenir que des câlins prouvant qu'il n'était pas dans son assiette la veille, il n'était clairement pas maitre de ce qu'il faisait.
Mais il ne semblait pas regretter ces moments de tendresse bien que lorsqu'ils en avait parler il avait parut gêné au plus haut point.
En bref il ne savait comment le caractériser. Il n'avait vraiment plus foi en l'Amour ayant été bien trop de fois blesser et détruit par ce dernier. Alors pour lui avoir de nouveau des sentiments envers quelqu'un lui faisait peur et était limite impensable. Alors la dernière fois il s'était dit qu'il avait embrasser sous le coup de la fatigue et peu être pour réconforter son ami puis il avait préférer oublier ce moment, l'effacer et ne plus y penser.
Mais plus l'heure d'aller chercher Guill approchait plus ces actes tournaient en boucle dans son esprit, le torturant peu a peu.
Il fallait qu'il se reprenne il avait réussi à oublier ces moments jusqu'à maintenant ce n'était pas le moment d'y repenser.
Perdu dans ses pensés il avait tout de même finit de s'habiller.
Un jean noir simple, un sweet-shirt noir avec des baskets blanches.
Il était maintenant l'heure de partir chercher Guillaume à la gare, comme quoi quand on est perdu dans ses pensées le temps passe vite !
Il prit ses clefs et sortit de chez lui puis partit à pied en direction de la gare qui n'était pas très loin.
Deux minute plus tard il était arrivé à destination, le train n'étant pas encore en gare il s'assit sur un banc et envoya un message à Guill le prévenant qu'il l'attendait à tel endroit assit sur tel banc.
Peu de temps après son message Libe aperçu le train arrivant en gare et reçut un message de Guillaume lui annonçant qu'il arrivait.
Cinq minute après Axel vit Guillaume apparaître dans son champ de vision.
Bizarrement il rougit malgré lui à la vue de son ami.
Ses cheveux en bataille mal coiffés, car incoiffables lui faisait de l'effet tout comme la finesse de son corps.
Jamais, au grand jamais il n'avait pensé pouvoir être attiré par son ami et pourtant en ce moment même il avait une envie folle d'embrasser les fines lèvres de son ami. Il dû se faire violence pour seulement l'enlacer lorsque celui-ci se présenta devant lui avec un grand sourire visiblement très heureux de le retrouver.
