Vivre dans le mensonge !

Chapitre 3:

J'arriva près de la boulangerie, quand j'entra il y  avait déjà du monde qui attendaient donc un homme qui venait chercher sa livraison de 10 pains. Je me mis dans la fil d'attente derrière une femme et sa fille et regarda tout autour de moi, je remarqua que l magasin avait changé.Les bonbons se trouvait à gauche en arrivant et la caisse face à l'entrée alors qu'avant les bonbon était à à droite des qu'on entrait et la caisse dans le coin à droite, je regarda alors les vendeuse mais je remarqua de suite que ce n'était pas les même que d'habitude, il avaient du changer de propriétèrent .

-Vendeuse: Merci beaucoup en revoir !

-Dame: Au revoir.

-Vendeuse: Mademoiselle, bonjour que désirez-vous ? en s'adressant à moi.

-Moly: Une baguette s'il vous plaît.

-Vendeuse: Bien, avec ceci ?

-Moly: Ce sera tout, merci

Je paya la baguette puis repartis, mais je ne repartis pas directement chez moi. Je m'assis sur un banc dans la parc qui n'est pas loin de chez moi et regarde les enfants jouer. Certain était à la balançoire et appelait leur parent en leur faisant un petit signe et au banc à côté du mien se trouver un couple de jeune parents la mère avait l'enfant dans les bras et tous deux regardait leur bébé avec amour, on pouvait voir que la mère le serait fort comme ci elle avait peur qu'on lui enlève, à ce moment la une larme coula sur ma jour.

Pourquoi nous avoir abandonné et ne pas nous avoir aimé et élevé, pour faire des enfants si elles n'en voulait pas ? Toute ces questions trottait dans ma tête.  Je resta assise là pendant une dizaine de minute avant que mon téléphone ne vibre, s'était mon père.

Appel :

-Moly: allo papa.

-Papa: Ma puce, mais où est tu ça fait une demi heure que tu es partis ?

-Moly: - je regarda ma montre et vis que ça faisait bien une demi heure que j'étais partis -  oh...heu... je suis en chemin, seulement il y avait beaucoup de monde à la boulangerie, - ce qui était faux- mais j'arrive ne t'inquiète pas.

-Papa: D'accord, à de suite.

-Moly: Oui 

Fin de l'appel :

Je raccrocha et me leva, je pris mon pain et jeta un dernier coup d'oeil à la famille à côté de moi, le père leva la tête au même moment et vis que je les regardais alors il m'adressa un sourire que je lui rendis. 

....

Une fois arrivé chez moi, j'enleva mes chaussures et les mis à côté de l'escalier pour les échanger avec mes tongues puis partis dans la cuisine où se trouvait mon père, le regard morne( vide) assis sur la chaise, je tourna la tête vers la cuisinière et vis que l'eau des pâtes passait par dessus, je couru l'éteindre.

-Moly: Papa, tu fais quoi la !?

-Papa:...

-Moly: Papa, hou hou, - en lui passant la main devant les yeux-.

-Papa: Hum quoi ?

-Moly: L'eau passait par dessus.

-Papa: quoi...oh mince, - il se leva et se dirigea vers la casserole de pâtes-.

-Moly: Mais  qu'est ce qu'il t'arrive t'es trop bizarre, c'est la dame c'est ça ? Qu'est ce qu'elle t'a dit ?

-Papa: Non c'est pas ça, je pensait que se serait bien qu'on déménage dans un endroit plus calme que la ville, pour la campagne par exemple.

-Moly: QUOI, tu plaisante la j'espère ?

-Papa: S'était juste une supposition...

-Moly: Oui et bien elève cette " supposition" de ta tête car je ne pars pas une seconde fois, je te préviens. Bon je vais dans ma chambre.

Je monta donc dans ma chambre et en ouvrant la porte je vis que s'était le bazar, il y avait mes t-shirt sur ma chaise de bureau des chaussures sous le lit accompagné des chaussettes. Je commença donc à ranger, une demi heure après jusqu'en j'avais fini mon père m'appela pour que j'aille manger.

21h30:

Je me trouve dans ma chambre et fais mon sac pour demain, je commence par deux heure de sport suivi d'espagnol et histoire, YOUPI ! En fait je n'est pas du tout envie et j'y juste pour revoir mais nouveau amis ainsi que Tristan l'irrésitible....attendez j'ai dis quoi la ?  Je deviens folle je crois, pourquoi un gars aussi...beau s'interesserait à moi, mon double s'empare de moi au secours, je deviens folle !!!

Bref oublions tout ça et direction la salle de bain, je sort de la chambre et me dirige donc vers la salle de bain tout en croisant ma soeur la tête avec des énormément cernes, je comprends donc que ce n'est pas le moment de lui parler et continue mon chemin. Une fois prête je vais direct au lit.

...

Le lendemain matin je me lève vers 6h30 et me prépare, prends mon petit dej' puis pars pour le bus. Dans le bus jules s'installe à côté de moi et je n'arrête pas de le regarder en me posant la question " est-ce qu'il m'aime bien ? "

 La journée est passé super vite et je sort du lycée à l'instant, au portail j'attends les filles pour leur dire en revoir quand quelqu'un pose sa main sur mon épaule, je me retourne et vois u homme grand et fort, a peu près la trentaine.

-L'homme: Mlle FARMA ?

-Moly: Oui c'est moi.

-L'homme: je me présente, Tom collègue de votre père, il faut que vous veniez avec moi c'est urgent.

-Moly: Comment ça, où est mon père ? - commençant à paniquer-

-Tom: Il est...il est à l'hopital...

En entendant cette phrase je m'effondra en larme sans même savoir la raison, mais je présenteais rien de bon dans cette phrase.