Au château du comte

chapitre 1

Quand la voiture blindé noir s'arrêta devant une grille d'une immensité effrayante, Diana degluti péniblement la salive. Quand les grilles furent baissé, la voiture s'engagea dans une longue et large allé de grands et mince arbres au feuille orangé ; l'automne était battait son plein.

Après près de dix minutes à longé l'interminable allé, la voiture se stabilisa enfin. Elle poussa un soupir nerveux se demandant bien ou elle avait mis les pieds. Et si c'était un kidnapping ?! Elle n'avait jamais vu de propriété si immense. Quand le chauffeur vint enfin lui ouvrir la porte elle aspira une bonne bouffé d'air frais avant de posé son pied hors du véhicule.

– Le château.., murmura-t-elle les yeux ronds en reconnaissant  la bâtisse qu'elle avait observé pendant des heures sur les photos de sa mère et sur internet.

C'etait de très vielle bâtisse blanche mais parfaitement entretenu. Elle avait une forme très particulière ; c'était un assemblage de trois bâtiments dont le celui du centre faisait fortement pensé au Kremlin de Moscou. Les deux autres qui le bordait était identique dans les moindres détails ; plus élancée que celui du centre, la quatres tête pointu comme celui des contes de fées.

Les jardins s'étendait à perte de vue sur les deux côtés et il y avait beaucoup de fontaines dont les formes et les matériaux utilisés trahissait une opulence extrême. Elle serra la corde de son sac à main jusqu'à ce que ses phalanges deviennent blanche.

À quoi s'attendait-elle?!

À une ferme pleine de vache et de chèvre ? Son beau frère était un roi donc forcément ses amis étaient des gens importants. Idiote, s'admonesta-t-elle tout bas quand elle se rappella qu'il avait prononcé un « Viktor » dans leur dernière entrevue ; elle aurait dû s'en douté.

Le chauffeur après avoir déposé ses valises près d'elle redémarra à toute vitesse sans lui décroché un regard. 

Quel accueil!

Elle fit un tour complet sur elle, perdu ne sachant où aller. Sur le point de s'asseoir sur sa valise, elle vit une jeune femme et deux hommes se diriger vers elle. Dès lors, elle se régressa et ajusta ses lunettes.

– Bonjour, tu dois être Diana.

Elle hocha la tête et serra la main qui lui était tendu.

– Je suis Pryanka, la petite sœur de Viktor ravie de te rencontrer.

C'était une très jolie fille, le genre qu'on ne voyait que dans les magazines de mode : cheveux châtains, yeux verts peau mate et le tout accompagné d'un magnifique sourire ; le genre de sourire très difficile à oublier. Elle était vraiment très belle, rien à voir avec elle.

– Moi de même...

La jeune femme lui sauta presque dans les bras et la serra si fort qu'elle eu de la peine à respirer. Elle toussauta gené de l'étrange situation.

Pryanka la relâcha tout aussi mal alaise qu'elle.

– Désolé, c'est que depuis hier que j'ai été informé de ton arrivée j'étais si impatiente de te rencontrer.

– D'accord...

– Ne m'en veux pas, je manque cruellement de compagnie.

Elle hocha la tête en esquissant un sourire entendu.

– Voici Arnaldo et Pablo, dit-elle en pointant respectivement son indexe sur la gauche et la droite. Ils vont prendre tes valises.

Les deux hommes embarquèrent chacune une valise sans plus tarder et se dirigèrent vers le côté Est de la bâtisse.