Chapitre 17

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Un très long chapitre, pour m'excuser.

Diana frémit de honte lorsqu'elle reconnue la voix de son nouvelle ami près de la porte. Il passait tour à tour son regard sur eux cherchant à comprendre ce qu'il se passait, ce que Viktor lui déconseilla en enfonçant simplement ses poings dans ses poches de son pantalon et en le gaugeant du regard. Un vrai maitre dans l'art de l'intimidation.

_ Monsieur le comte ! S'empressa-t-il de saluer poliment en effectuant une brève révérence.

Diana lui fit des signes de main discrète pour qu'il abrège la conversation, n'importe quelle excuse aurait été la bienvenue. Forbitio les regarda de nouveaux à tour de rôle ne sachant quoi dire alors que le malaise c'était installer dans la pièce la rendant presque étouffante.

_ Je suis venue faire les retouches sur le maquillage de mademoiselle Evans, le mannequin de votre sœur car ce seras bientôt l'heure pour elle d'entrée en scène et elle sera quelque peu à votre bras pour les photos.

Les photos ?! Mais bien sûr.

Diana se rendit compte qu'elle avait complètement oublié cet aspect de la soirée. Elle allait devoir apparaitre sur des photos. C'était le premier chef d'œuvre de Pryanka Di Handreas et magnifique comme était la rode, les magazines se l'arracherait.

Mon Dieu !

Qu'elle avait été stupide de ne pas y pensée. Toute personne regardant de plus près remarquerais que c'est elle. Ce qui faisait penser que dorénavant elle allait être plus discrète. Ce jeter dans les bras de Viktor Di Handreas ne serait pas la solution idéale.

La voix grave et suave de l'homme l'a ramena sur terre en provoquant sur son visage de terrible rougeur.

_ Je ne pense pas que ceci soit nécessaire, voyez-vous elle est parfaite. Sauf peut-être...

Il esquissa un sourire énigmatique.

_ Les lèvres, il lui faudrait un peu de...enfin c'est vous l'expert.

Seules eux deux comprenait le pourquoi de cette remarque. Il sorti la seconde d'après les laissant tous deux abasourdis.

_ Vous auriez pu être plus discret. La porte était totalement ouverte et j'ai cru que tu étais seule.

_ Enfaite je ...

_ Dio mio, la coupa l'homme aux cheveux roses en la faisant asseoir sur la chaise face au miroir. Viktor Di Handreas son altesse le tout puissant? C'est lui ?

_ Qu...quoi ?! Demanda-t-elle en balbutiant nerveusement.

Il corrigea rapidement le manque sur ses lèvres avant de s'accroupir devant elle.

_ Si je savais que c'était de mec-là dont il était question, fit-il en renforçant le rouge de ses lèvres. Je n'aurais rien prétendue.

_ Je ne vois absolument pas de quoi tu parles.

_ « Je ne vois pas de quoi tu parles, Je ne vois pas de quoi tu parles », l'imita-t-il d'une voix grossière. Eteint le feu qui embrase ton corps mia dulce et là, seulement là tu pourras le nier. Tu le dévorais carrément du regard et cette pièce a failli prendre feu. Et tes lèvres, je pensais les avoir...

_ N'importe quoi ! menti-t-elle, faignant d'être totalement sous le choc. Je n'ai jamais fait ça, tu t'imagines des choses. Et puis on se déteste tous les deux.

_ Il est bien foutu je dois l'admettre. Tu as très bon gout, j'en aurais fait mon quatre heure s'il aimait les hommes. Mais au vue de sa façon de te regarder je n'ai aucune chance. En générale les tabloïdes le décrivent comme un homme tellement difficile à satisfaire. Il est plutôt du genre à se laisser surprendre avec des femme grande, blonde ou brune, riche héritière ou princesse...

Au château du comteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant