Chapitre 7

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_ Tu n'es qu'un monstre.

Viktor ouvrit la portière et sa sœur en sorti plus furieuse que jamais.

_ Je t'interdis de me parler sur ce ton petite insolente. C'est aussi elle qui t'a appris ? Tu es devenue impétueuse.

_ Comment as-tu pu la laisser dans cet endroit infâme ? Je vais aller la chercher immédiatement.

_ Elle doit bien connaitre cet endroit « infâme » pour t'y avoir amené, rétorqua-t-il en la trainant de force jusqu'à l'intérieur se maudissant son amis de lui avoir mis dans de tel problème.

Elle arracha sa main de la sienne avec une force dont il n'avait jamais imaginé.

_ Mais c'est faux ! S'écria-t-elle.

_ Quoi donc ?

_ C'est moi qui lui ai suggérer de t'attendre dans ce bar. Elle ne voulait même pas, cria-t-elle les larmes aux yeux.

_ Je te somme de ne pas me mentir Pryanka Di Handreas, lui dit-il sur un ton menaçant.

_ Je ne suis plus une enfant Viktor alors je t'interdis de pensé que quiconque peut m'entraîner. Quand je suis allé la chercher à la sortie des cours, ma voiture a eu un problème alors je l'ai suggérer de t'attendre dans ce restaurant bar à cause de toi. Je sais que tu n'aimes pas les lieux publics.

_ Pourquoi n'avez-vous pas appelez le chauffeur ?

_ Regarde autour de toi. Aucun des chauffeurs ni des voitures n'est la parce que tous les lundis mère et Annabelle les emmènent faire des course. Je voulais t'expliquer la situation au téléphone mais ma batterie m'a lâcher.

Il se passa une main dans ses cheveux en lâchant plusieurs jurons.

_ Retournons la chercher je t'en supplie. Il pleut et ces hommes avaient l'air dangereux. Si tu n'avais pas été là il nous aura fait du mal et ils n'existeront pas s'il la recouvre seule.

_ Reste-la, souffla-t-il en en se précipitant vers sa voiture.

[...]

Diana marchais depuis plus de vingt minutes sous la pluie son sac contre sa poitrine. Heureusement pour elle un sac en plastique se trouvait dans son sac sinon toutes ses affaires auraient été mouillées. Elle aurait préférer mille fois avoir une pneumonie que de rentrer dans ce restaurant.

De loin, Percher aux sommets de cette colline, le château brillait de mille feux.

Elle ne connaissait pas le chemin, elle se contentait d'emprunter toutes les routes qui la rapprochait.

Elle se retourna une énième fois : aucun taxi à l'horizon.

Les phares d'une voiture l'ébloui de loin et elle quitta le chemin de peur d'être renverser mais a sa plus grande surprise, la voiture freina juste devant elle. Elle se figea sur place alors que son esprit la confrontait à toutes les scènes les plus horribles. Une jeune fille seule sur une route déserte à 5h du soir...

Oh seigneur pardonne moi mais maudit soit ce Viktor Di Handreas.

Elle fit marche arrière prête à s'enfuir mais a sa plus grande surprise ce fut le comte. Un sentiment étrange lui comprima le cœur, elle ne sut si c'était de la colère ou de la déception. Pourquoi revenait-il après l'avoir laisser seule sur la pluie, au milieu de nulle part.

_ On rentre, déclara-t-il sur un ton abrupt.

Elle se recula quand il voulut lui prendre le bras. Quel culot.

_ Ne me touchez pas. Je...Vais me débrouiller pour rentrer.

Diana commença à marcher sans plus regardée en arrière mais en quelque fouler, il la rattrapa et la retourna si violemment que son front rencontra son torse chaud et aussi dure que du béton.

Au château du comteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant