Partie 2 :Mon calvaire

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Hafsat eut une formation hors du pays, elle venait d'être promue à un poste de responsabilité, et devait se rendre au Sénégal pour un mois .

Ce fut le mois le plus long que j'ai vécu de toute ma vie. J'étais seule avec les enfants, je m'occupais maintenant même des domestiques , et veillais à tout après l'école.

Avant de partir, elle demanda à la bonne de dormir à la maison dans la chambre        des enfants jusqu'à son retour pour que je ne sois pas seule. Elle me remit une importante somme d'argent pour la gestion de la maison, du goûter des enfants, au salaire des domestiques.

Un jour, après l'école, je retrouvais le poignet de la porte de ma chambre déglinguée. Elle ne se refermait plus, il fallait changer carrément le système. Je demandais alors à Dourfaye de me la faire réparer, je dormais à nouveau dans ma chambre, vue que la saison était clémente. .

Il ne fit rien pour le faire réparer malgré mes interminables relances, les enfants rentraient et renversaient mes pommades, mes cahiers et livres, j'étais énervée tous les jours .

Un soir, alors que je révisais mes cours, il vint me trouver, ivre, en peignoir et s'assit au bord du lit. J'étais sur ma chaise d'étude. Il empestait et franchement cette proximité me dérangeait , je fis mine d'être concentrée et d'être super occupée et là il me lança la phrase fatale:

lui: j'ai pas sommeil

moi: j'ai du valium si ça te convient

lui: je ne veux pas de médicament, j'ai envie de toi , je sais que tu es vierge, je ne vais pas te faire du mal, je veux juste jouir , fais-moi confiance

Non mais !!!! je commençais à trembler d'énervement et de peur, la bonne dormait de l'autre côté avec les enfants, que dois-je faire la ? Je ne pus retenir des larmes et il regretta aussitôt ses paroles et partit , le zizi bien dressé sous son peignoir.

Je fermais mes cahiers et regagnais mon lit, voilà que ma porte ne se fermait plus, enfin je me disais que c'était fini puisqu'il était parti. J'avais mes menstrues, donc je dormais avec slip et cycliste et toujours avec un T shirt assez long dans ces périodes. Je finis par m'endormir , essayant d'oublier cette mauvaise blague.

Vers 2 h du matin, couchée sur mon ventre, je sentis une lourde masse sur mon dos, j'étouffais, et l'odeur de l'alcool empestait , j'ouvris les yeux et réalisais que Dourfaye était sur moi nu comme un ver de terre, son membre entre mes cuisses.

Il mit sa main gauche sur ma bouche pour m'empêcher de hurler et me susurra dans l'oreille: j'ai trop envie, je n'en peux plus, je ne vais pas te faire mal...

Me voilà bloquée avec mes 48 kgs sous un gaillard qui en pesait 80 au moins, je ne pus bouger d'un cm, je gigotais pour rien et finis par me calmer, pleurant la tête immobilisée par sa main.

Il se mit à frotter son membre contre mes fesses en gémissant; à un moment donné ,il glissa sa main sous moi pour prendre mon sein. Il augmentait le rythme de sa cadence et entreprit brutalement de m'enlever mon cycliste et Tchipa quand sa main rencontra mon coton hygiénique, il remit mon slip et continua ses mouvements jusqu'à lâcher sa saleté sur mon dos et mes fesses.

MON CALVAIREOù les histoires vivent. Découvrez maintenant