Partie :48

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Après avoir pris un bon bain, je vais me coucher auprès de mon mari.

Je suis tourmentées par le fait que Rayane, a chassé sa femme par notre faute.

Moi: Bébé parles à Rayane s'il te plait.

Lui: Je suis désolés mais je ne peux rien y faire dans cette situation.

Moi: Il a mis sa femme à la porte à cause de nous et de la pire manière.

Que Dieu nous pardonne nos péchés.

Si on pouvait retourner en arrière, jamais j'allais aller à ce dîner. Au lieu de tout arranger nous avons tous gâché.

Lui: Il a mis sa femme à la porte parce qu'elle n'a pas un bon comportement.

Moi: Déjà qu'on ne s'entend pas bien avec elle. Maintenant je suis sûre , qu'elle va nous détester.

Lui: Bébé, je veux pas me mêler de cette histoire et toi aussi je t'interdis de le faire.

Mais il n'est pas sérieux ? Enfaite si.

Moi: Mais, on parle de mon frère , tu le sais très bien que moi que c'est Haram le divorce.

Lui: Qui t'a parlé de divorce, il va lui donner une bonne leçon c'est tout. La preuve tu as quitté la maison pour quelques jours.

Moi: Mais...

Lui: Moi je t'ai donné un ordre. Tu ne vas pas t'attirer d'autres ennuis. Le stresse n'est pas bon pour notre enfant. 

Moi: S'il te plait Askim, laisses moi ramener mon frère à la raison.

Lui: Moi,ton mari je t'interdis de te mêler de cette affaire.

Moi: D'accord je vois, comme tu voudras, si moi je quitte la maison  , tu ne voudras pas qu'on me ramène ?

Lui: Bonne nuit. Nous n'allons pas nous disputer pour ça.

Il trouve que c'est pour ça. Mais il est grave lui.

Je lui tourne le dos, je vais le bouder.

Lui: Tu me tournes le dos? Hbiba tu vas m'arrêter tes caprices à longueur de journée.

.....

lui: D'accord comme tu voudras, éteints la lampe si tu veux bien.

Je lui éteints sa lampe et sors de la chambre pour aller pleurer. Je pleure ses derniers temps pour un Oui, pour un non.

... : Vas-y arrête de pleurer et viens dormir avec moi. Je te promets de parler avec ton frère demain.

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Le lendemain matin , je me réveille avec une forte envie de vomir.
Il y a mon mari qui est apparu derrière moi tout inquiet.

Lui: Tu as besoin de quelque chose?

Je lui fais un non de la tête. Après avoir tout vomis  , je me brosse les dents et essais temps bien que mal de garder l'équilibre.

Moi: Tu peux me porter s'il te plaît ? Je me sens vraiment faible.

Il me porte jusqu'au lit avant de me couvrir par la couverture.

Lui: regard inquiet, tu es toute pâle Hbiba, je t'amène à l'hôpital.

Moi: Non pas besoin, c'est juste un coup de fatigue ça passera inshallah.

Lui: Je ne vais pas risquer ta vie hbiba, fais un effort s'il te plaît. Penses au bébé.

Moi: Tu m'aides à prendre mon bain?

Nous sommes allés en consultation, ils m'ont fait une prise de sang, nous allons avoir le résultat dans une heure, le Dr quant à lui soupçonne une infection.

Ils ont décidé de m'hôspitaliser le temps qu'il ne découvre ce qui ne va pas.

Moi: Ce n'était pas nécessaire l'hospitalisation.

Lui: Bien-sûr que si , ta santé m'est primordiale.

Moi: J'ai les pieds qui sont lourds.

Lui: Je vais te faire un massage.

Moi: Merci le plus beau.

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De retour à la maison, nous avons croisé ma mère. Après les salutations, elle monte avec nous.

Nous avons été relâché, je n'ai rien de grave, ils m'ont mis juste sous antibiotique pendant quatre jours et sous régime alimentaire.

Après qu'il nous ait raccompagné en haut, il est reparti pour aller me chercher mes comprimés et à manger.

Moi: Je te sers quelque chose à boire maman?

Elle: Je n'ai pas soif. Et vous venez d'où à cette heure.

Moi: De l'hôpital, mais rien de grave.

Elle: Maya m'a appelé cet matin.

D'accord , elle va me passer un savon.

Maman: Je ne suis vraiment pas fière de toi. Comment as tu osé faire un scandale chez ton frère, jusqu'à ce qu'il mette sa femme au dehors?

Moi: Ce n'est pas ce que tu crois, elle c'est elle qui s'est acharnée sur moi. Et c'est la décision à Rayane, nous avons tout fait pour qu'il revienne à de meilleur sentiment mais il n'a fait qu'à sa tête.

Elle: Je m'en fous de qui a raison ou de qui a tort. Pour moi tu es la fautif, tu es allées chez elle, c'est à toi de te tenir à carreau. Que vont dire les gens? Que vont ils penser de toi?

Moi: Je m'en fous de ce que les gens pensent de moi. Il n'y a que ton avis qui compte.

Elle: Moi je ne m'en fous pas tu comprends, tu vas me faire plaisir d'aller t'excuser auprès de ta belle sœur.

Moi: Toute façon je compte le faire.

Elle: Vous allez me rendre folle, vous tous dans cette famille. Je ne vous ai pas éduqué comme ça moi.

Moi: Je suis désolées si nous te causons du tort mais beaucoup de chose ce sont produit.

Elle: Bon je vais y aller. Tu prends soins de toi et n'oublies pas de passer voir Haoua demain.

Moi: Je te le promets maman.

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Je m'apprête à manger quand on sonne à la porte, je vais ouvrir sur Selma. Elle date elle.

Moi: Oh Selma vas-y entres.

Elle : Tu vis toi?

Moi: On va dire que tu ne me cherches pas aussi , je m'apprêtais à manger, je t'apporte un couvercle ?

Elle : Oh non, je passais dans le coin et je me suis dis pourquoi ne pas passer te faire un coucou.

Moi: C'est bien gentil de ta part. Alors c'est quand tu m'invites chez toi?

Elle: Euh.. Un de ses quatre. Et ce petit bébé, il ne te fatigue pas trop?

Moi: Il est tout sage quand il le veut. Sourire, regarde , il bouge il te passe le Coucou on dirait.



Selma: Femme Soumise.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant