Selma: Femme Soumise.

Partie :15

«Si tu lui donnes la richesse du monde elle va tout assumer»

Aujourd'hui dimanche, je fais le grand ménage. L'appartement n'est pas sal mais je vais passer un coup de balaie.

Je ne peux pas passer l'aspirateur étant donné que mon mari, il dort toujours.

Le ménage fini, j'attaque le petit déjeuner au même moment, je suis en appelle vidéo avec ma maman.

Maman: Ah Selma tu mets trop de sel, tu veux tuer ton mari ou quoi.

Moi: Eh maman tu sais bien que je suis une pro de la cuisine hein.

Maman: Ouais c'est ça. Selma j'attends toujours ton tissu.

Je suis devenues toute rouge. Elle m'a donné un bout de tissu blanc pour quand on le fera pour la première fois. Pour voir si je me suis préservées pour mon mari ou pas.

Moi: euh... Euh.. Maman tu l'auras Inshallah quand ça se fera.

Elle: Tu attends quoi hein Selma? Pourquoi tu fais toujours les choses nonchalamment ? Et ton mari dans tout ça ?

Moi: Il dit qu'il n'est pas pressé maman.

Mensonge, mais c'est un peu vrai aussi. Il ne veut pas si je ne veux pas. Ou soit il est juste patient.

Elle: Tu sais que c'est pas bien. C'est ton devoir de femme mariée . Tu ne vas pas attendre que c'est lui qui doit venir vers toi. Tu es la femme à toi de savoir comment gérer ton couple.

Moi: Je ne suis pas prête maman.

Elle: Non mais cette fille, elle va me tuer un jour. On est jamais prête pour ses genres de choses. Prends ton courage à deux mains ma fille. Un homme il a toujours des envies et s'il te dis le contraire c'est juste parce qu'il ne veut pas te frustrer.

Je sens des bruits de pas venir.

Moi: Je te laisse maman. Il s'est réveillé.

Je Coupe l'appelle avec ma mère et quelques instants après, il vient me donner un bisou sur la joue..

Moi: En me tournant vers lui, Bien réveillés Askim?

Lui: sourire, oui. Ça sent bon.

Il enfouie sa tête dans mon cou et un sentiment étrange s'empare de moi.

J'enroule mes bras autour de sa taille.
Il me dépose des bisous chaud chaud et ses mains deviennent baladeuse..

Moi: Il t'arrive quoi Askim. Dis-je d'une voix que je voulais rassurante.

Lui: Je profite de ma femme.

Je place mes deux mains pour l'écarter de moi.

Moi: Ça va brûler Askim.

Il dépose ses lèvres contre les miennes et m'embrasse langoureusement avant de tourner les talons.

Et si ma mère avait raison?
Après notre petit déjeuner, je demande la permission à mon homme si je peux sortir.

Lui: Tu vas où bébé ?

Moi: Me faire des soins.

Lui: Où ça ? Tu ne te sens pas bien? Dit-il paniqué en se levant pour me toucher le front.

Moi: rire, Non Askim je vais bien des soins pour moi, des trucs de fille tu vois.

Lui: Ah d'accord, tu peux y aller bébé. Mais je veux qu'on lise le Coran ensemble d'abord.