Chapitre 1 :

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Quelque part au milieu de l'océan atlantique

Un bateau voguait à toute vitesse en direction de sa destination. Sur le pont extérieur se tenait une jeune femme. Ses longs cheveux blond éclairé par la lune flottaient derrière à cause de la vitesse.

-Madame, nous serons bientôt arrivés. Dit un homme derrière elle.

-Bien. Répondit-elle sans se retourner.

Elle sera la rambarde et se pencha en avant.

/A nous deux Élias.../ Pensa-t-elle.

****

A quelque kilomètre du bateau se tenait sortant de nulle part une immense construction. Elle se tenait sur une île dont tous ignorait l'existence. Elle n'est connue que par certains dirigeants. Ce lieu n'est qu'une chose. Derrière ses hauts murs et sa lourde porte de fer se trouvait une prison de la plus haute sécurité. A quel point ? Et bien c'est simple. Aucun prisonnier n'a depuis sa création réussit à s'en échapper. Ses gardes viennent de tous les pays, se sont les meilleurs des meilleurs.

Les personne enfermé ici son accusé de tous crime. Meurtre, vols et bien d'autre chose. Si elles sont envoyées ici c'est qu'elles sont jugée aptes à s'évader de toutes les autres prisons du monde. Les personnes enfermées ici ne sortaient jamais. Et si il mourrait il était bruler et leurs cendre était enterré dans l'enceinte du bâtiment.

Soudain une sirène retentit, touts les projecteurs s'allumèrent en même temps illuminant toute la prison.

-Alerte ! Un prisonnier c'est échapper !!! Cria une voix dans un haut parleur.

-En théorie !!! Répondit une seconde.

Les bruits de pas des gardes se firent entendre dans chaque recoin des bâtiments. Chacun était armée de fusil d'assaut chargé avec des fléchettes tranquillisantes. Il se répartir chacun selon le plan qui leurs était transmit dans leurs oreillettes. Ils se positionnèrent autours de l'entrepôt de nourriture et mire en jeu le bâtiment.

Un homme portant un habit militaire s'approcha. Il était plus grand et musclé que les autres gardes et sur son torse brillait fièrement ses médailles. Il tenait à la main un mégaphone, il le porta à sa bouche.

-PRISONNIER NUMÉRO 347 RENDEZ-VOUS SANS RÉSISTER !!!! LA ZONE EST ENTOURE, VOUS NE POUVEZ PLUS VOUS ENFUIR !!!

La porte du hangar s'ouvrit lentement. Un homme sortis de l'ombre et s'approcha. Il tenait à la main une cuisse de poulet et dans l'autre une tranche de comté. Il mangeait l'un puis l'autre avec appétit.

-Oh Karasou ! Comment sa va ? Dit-il en souriant en apercevant l'homme.

-QU'ES QUE TU FAIS HORS DE TA CELLULE !!!

-J'avais trop faim pour attendre le prochain repas. Je suis donc allé me servir par moi-même. Rit le jeune homme.

Le garde serra les dents. Le jeune homme s'approcha de lui et lui tendit ses poignets.

- Je retourne dans ma cellule. J'ai trop froid ici.

On lui remit ses « menottes » qui n'était en réalité que des poids de plus de 90 kg sur chaque poignet ceci l'empêchait de bouger. Et en effet, elle jouait bien leurs rôles car ces dernières par leurs poids l'obligeaient à garder les bras baissé lui interdisant donc quasiment tout mouvement.

On le ramena à sa cellule. Uns pièce d'environ 10 mètre sur 10 ou se trouvait des cabinets et une douche. Il s'allongea sur le sol et soupira.

-Dit au cuistot que le poulet manque cruellement d'assaisonnement.

Deal of lifeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant