Q u a t r e

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Lorsque des sifflements envahit son petit espace,


La femme du trottoir remis le masque,




Elle coinça ses cheveux derrière ses oreilles et se déhancha en allant droit vers ces fêtards.


D'une démarche sensuelle, elle abaissa son petit haut,


D'une démarche qui se voulait sereine, elle lança des sourires charmeurs,




On lui proposa de ce joindre à eux,


Elle accepta.

Car en plus de se corps incompris,

Sa conscience s'était éteinte.




Les larmes, s'étaient arrêter de coulés depuis bien des années,




Elle n'avait plus que ce corps en chiffon,
Qui lui criait ; J'ai mal !




Elle n'avait plus que ce dégoût, qui se nourrissait de haine.

La femme du trottoir ✔️Où les histoires vivent. Découvrez maintenant