Les voix appellent désormais,
L'esprit se perd dans le désordre mais
Le train avance coûte que coûte
Dans les rails flous à découdre.
Les étoiles se perdent dans la foule.Le mal s'enlace dans mes bras.
Le coeur s'embrasse du début
Du départ dans un rébus confus.
Dévorer par l'étendue des draps.
Tes yeux mélodieux sont fous.Tes étoiles mélodieuses sont floues.
Il y a que dans mes rêves que je peux rêver.
Je vais jamais m'arrêter de les regarder.
Même si pour ça je dois crever.
Ô je veux rêver,
De contes de fées
Même si je dois crever.Ce lever avec l'air fatigué,
Même si l'aigle n'a pas piqué.
Les nuages prennent de la place,
Lorsque le soleil fait face.
Tes yeux peuvent être à deux.La journée défile sous la pluie,
Le cours du temps sur le manteau luit
Les écrous te prennent puis,
Les visages mornes que je fuis.
Les étoiles brillent un peu.Le soir viens de nouveau avec douceur,
La soie des araignées de la rancoeur
Cesse d'emprisonner le coeur.
L'éloignement et sa poigne,
Caresse les étoiles qui stagnent.Il y a que dans mes rêves que je peux rêver.
Je vais jamais m'arrêter de les regarder.
Même si pour ça je dois crever.
Ô je veux rêver,
De contes de fées
Même si je dois crever.Tes étoiles mélodieuses, pleure.
Je veux rêver, pleure.
Je veux rêver, meurs.
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Anaconda
PoetryPeut importe les rimes, Peut importe la musicalité, Peut importe l'interprète, Seul le lecteur qui sait lire entre les lignes, Peut voir la beauté d'un poème. Seul l'écrivain qui écrit entre les lignes Est un poète. « Cours cours lapin. Bouge les br...