Les heures passent dans tes yeux
Mon coeur s'apaise au creux
De ta main loin du matin
Rempli de doutes sous ma croûtePeut-être que je peut être
Heureux et de tout mon être !
Et la voix dans ma tête
Je crois que tu peux la taire.Un jour j'irai à New York avec toi
Chanter à en perdre mes poumons
Brayer notre joie comme des cons
Enfin je vis vivantAu fond de moi
Je le crois
Un flamme s'est allumée
Et elle incendie ma forêt
Et j'aime aussi çaMon coeur se serre
Mes yeux se perdent
Dans ceux de mon feu
Et je les mets tout au creux
De l'espoir même.Un jour j'irai à New York avec toi
Chanter à en perdre mes poumons
Brayer notre joie comme des cons
Enfin je vis vivantQuelle est cette douceur
Qui me rempli le coeur
D'une voix mélodieuse
A en croire l'heure
Son nom est Julie
Enfin je veux dire joie
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Anaconda
PoetryPeut importe les rimes, Peut importe la musicalité, Peut importe l'interprète, Seul le lecteur qui sait lire entre les lignes, Peut voir la beauté d'un poème. Seul l'écrivain qui écrit entre les lignes Est un poète. « Cours cours lapin. Bouge les br...