Chapitre 4 : La maison

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Djakar : Je vais t'epousé !

Moi : Pardon ?!?

Djakar : Et oui , tu a bien entendu . Je vais t'epousé ! Me lança t'il en arborant un large sourire .

Moi : Il n'en est pas question , je refuse . Lui lançais-je tout énervée .

Djakar : Tu n'as pas le choix , que tu le veuille ou non tu vas devenir ma femme .

Moi : ...

Djakar : Alors tu ne parle plus ma jolie ?

Moi : Je ne te ferai plus se plaisir , mon beau .

Djakar : Tu me trouve beau ? dit-il le sourire toujours au lèvres

Moi : ... Je sentis le rouge me monter au joue .

Djakar : HAHAHA... Il fut pris d'un fous rire face mes joue écarlate .

Mais ques qu'il m'a pris de dire ça .

Durant tout le chemin il arboré un petit sourire fière et amusé .

On arriva dans un village au bout de quelques heures de route , Djakar me porta pour me faire descendre du cheval avant de me posais a taire . Je scruta le village du regard en cherchent une sortie qui n'était pas trop surveiller mais je ne trouva rien .

Djakar : Si tu cherche une sortie tu ne trouveras rien il n'y a qu'une seule porte et elle est très bien garder .

Moi : j'vois pas de quoi tu parle .

Djakar : Je te vois depuis tout a l'heure a scruter les lieux .

Moi : j'observais le paysage et les villageois .

A regarder de plus près , je pouvais apercevoir les villageois détourner le regard a chaque pas qu'on faisait un pas où plutôt a chaque pas que faisait Djakar .

Moi : Qui est tu ici ?

Djakar : je suis le Chef !

J'aurais du m'en doutais , sa ne pouvais pas être que lui , il avait un truc en plus dans le regard qui lui offrait le respect .

Comment je vais m'échapper moi maintenant ?

Djakar : tiens toi bien et obéi si tu ne veux pas être punis . Je préfèrerais ne pas te faire de mal ma jolie . Et surtout n'oublie pas a qui tu appartient , aucun de mais homme n'aura le droit de te faire du mal alors ne t'en fait pas .

Moi : ...

Djakar : Répond quand je te parle ! Me lança-t-il d'une voix dure et agacé .

Moi : Oui maître .

Djakar : C'est bien ma belle , tu apprend vite .

Je préfère lui obéir pour le moment , je n'est pas envie de finir le corps recouvert de bleus .

On pénètras dans une grande maison qui semblait être celle de Djakar , elle était spacieuse et lumineuse grasse a ses nombreuses fenêtre . Elle était en pierre et en bois , avec quel que décoration plutôt rustique .

Djakar : Sa te plaît ? Me lança t'il en arborent un petit sourire .

Moi : Oui maître . Répondis-je sans montrer aucun intérêt .

Djakar : En effacent son sourire , De toute façon tu n'a pas le choix tu vivra ici tout le reste de ta vie , avec moi .

Je finirais sûrement par mis faire a cette maison plutôt grande mais vivre avec un homme que je ne connais pas me déplaisée plus qu'autre chose .

Il me fit visiter cette immense maison en me montrent la cuisine , les salle d'eau et les différentes chambre . On s'arrêta dans une grande chambre où se trouver un grand lit , ainsi qu'une petite fenêtre où se trouver des baros , sûrement pour ne pas que je m'enfuis , il y avait aussi une chaise sous cette fenêtre , sans oublier l'armoire , et la petite table basse a coter du lit .

Djakar : C'est ici que tu dormiras et que tu passeras la plus par de tes journées , tu peux en faire ce que tu veux , c'est désormais ta chambre . L'armoire et pleine de vêtements ils sont aussi a toi , la porte se ferme uniquement de l'extérieur et tu n'as pas le droit de t'enfermée dans une pièce toi même tu peux te balader dans la maison , mais jamais seule dehors . Tu devra te nourrir toi même dans la cuisine , et me demander la permission a chaque fois que tu feras une activité . Es claire ?

Moi : Oui maître .

Je repense toujours au fait qu'il veuille m'épouser , mais pour l'instant je préfère ne pas évoquer le sujet . Pour l'instant je veux juste me laver et me reposer car après tout se qui m'est arrivée là , je suis épuisée .

Moi : Maître ?

Djakar : Oui ?

Moi : J'aimerais me laver et me reposer je suis épuisée .

Djakar : Prend des vêtements et suis moi , tu pourras ensuite disposer librement de ta chambre .

Moi : Oui maître . Répondis-je en me dirigeant vers l'armoire pour prendre une robe légairte ainsi que des bas .

On se dirigea vers une salle d'eau et il me laissa seul en ferment la porte à clé je me dépêcha de peur qu'il rentre alors que j'étais encore nue . Je me rendis compte que j'avais encore de la boue sur le visage et que mais cheveux était bien attaché .

Oh non , comment je vais faire quand je n'aurai plus la boue sur moi il pourra voir mon vrai visage . Et si il dessidait de me violer .

A cette seule pensée mon corps se mis a trembler , j'étais encore vierge et je compter le rester . Je me lava rapidement et laissa mes cheveux lâchés en espérant qu'ils cacheraient mon visage . Je toqua a la porte pour qu'il ouvre , se qu'il fit immédiatement , je ne mis pas longtemps a comprendre qu'il me contempler , alors je baissa la tête .

Djakar : Lève la tête . Me dit il en prennent mon menton entre ses doigts .

Je leva la tête dans un lent mouvement , et j'aperçus son sourire en coin , mais je continua a le regarder dans ces yeux qui était châtain foncé et si beau , je n'avait pas remarqué avant mais il a un visage très sexy .

Non mais sérieux c'est pas le moment de parler de sa .

Une lumière passa dans c'est yeux quand il vit que je lui fis fasse , il n'y avait que quelques centimètres qui séparait nos visage , j'eus l'impression de fondre fasse a se regard si intense , mais je me força a lui tenir tête sans jamais détourner le regard pour lui montrer que je ne me laisserai pas faire sans me battre .

Djakar : Tu cachais bien ton jeu petite fleure . Dit il un sourire en coin .

Moi : Je ne voyais pas l'intérêt de vous le montrer .

Djakar : Tu as l'aire d'avoir du caractère d'y donc j'aime sa , tu seras une excellente épouse .

Moi : Je ne compte toujours pas vous épouser . Maître . Je sentais la collère bouillonné au fond de moi sans savoir pourquoi .

Je vis une lueur menacente dans ses yeux se qui me fis légèrement reculer . Mais je fus vite rattraper par son bras puissant qui se plaça sur le bas de mon dos pour me coler a son torse .

Djakar : Où conte tu allé comme ça ma jolie .

Moi : Nul par maître . Répondis-je la mâchoire serré en le fixant .

Djakar : déssére ta mâchoire toutes suite si tu ne veux pas que je le fasse moi même .

Je le fis immédiatement de peur de me prendre un gifle .
Il me lacha aussitôt et m'enmena dans ma chambre avant de m'y enfermé . Je déteste être enfermé mais je ne voulais pas m'attirer sa colère je m'allongeas et m'endormis immédiatement .

~quelque heure plus tard~

Je fus réveillée par la serrure de la chambre qui s'ouvrait , mon cœur s'emballas lorsque j'aperçus ...

Le Cœur A Ses Raisons Que Je Ne Pourrait Jamais ComprendreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant