○About :
Un grand gaillard ténébreux part a la recherche de son bout d'étoile filante.🌠
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"et il fixais de ses orbes sombre la voute qui s'offrais à lui : les astres dansais et les voie lactés se prenais dans leurs bras. Que pouvais-t...
Moi qui me plaignais de n'avoir rien d'autres en tête que le souvenirs de son touchée, que la simple mélodie qu'il avait une fois prononcer du bout des lèvres, éhonté.
Moi qui me disais souvent, nonchalamment, que cette musique ne se graverai jamais dans mon esprit, que jamais je ne prononcerai la moindre de ses paroles.
Je me surpris moi-même à la chantonner, l'âme flottante.
Mes cordes vocales vibrais dans un doux tintement, plaisant à entendre, et mes yeux s'embuèrent au refrain, des paroles d'encouragement qui me donnais envie de crier, d'une rage indescriptible.
Rien de triste dans la mélodie, de simples mots de fierté et de sincérité et une chanson criant une ode à la vie, à la jeunesse, à l'amour, à nous.
A tout et tous.
L'univers fondait, sous de simples et innocents "nanana" .
Dans l'obscurité quelqu'un répétais : Shine, Dream, Smile.
Comme une évidence.
Puis je reconnus la voix.
Le fait que mon esprit ne s'en étais même pas rappeler me frappa, un coup dans les tripes, et un filet de sang qui s'écoulais violemment. Sur le bord de mes lippes froides, comme le souvenirs d'un baiser.
Je ne pris pas le temps de comprendre, j'unis ma voix sans hésiter à l'homme derrière ma silhouette, qui répéta aussi :
You got me, I dream when I see you
I got you, inside those pitch dark nights
Exactement ce qu'on ressens lorsque l'on aime.
Un sourire que je n'avais encore jamais vue se dessina soudainement sur ses croissants de chair. Puis dans mon corps, un sentiment de plénitude envahis ma poitrine qui chauffais doucement.
J'en aurais voulue à chaque chose qui m'aurais fais quitter cet instant, si ce n'était pas la réalité elle-même. Comment s'en vouloir à sois-même encore plus ? Comment se haïr plus que cela ?
Comment aurai-je put désirer autant ne jamais me réveiller, si ce n'était point l'instant ou mes yeux s'ouvre d'eux-même ?
Encore, les roses s'évanouiront dans le néant
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