Mon frère, Mon homme

chapitre 5

PDV NITO

Quelque jours plus tard

Depuis l'altercation, Libie ne me parle plus et ne m'adresse plus un seule regard. Et je déteste ça, c'est tellement.... frustrant. J'ai l'impression de tout faire mal,  je suis plus sur les nerfs que d'habitude. Nito et Cassandra l'on toute suite remarqués, en même temps comment ne pas remarquer le vent glacial qui souffle entre moi et Libie depuis quelque temps.

En ce moment je suis sur l'amac du balcon en pleine réflexion sur l'habitude à adopté avec Libie pour que tout revienne à la normale. En tout cas c'est sur que les fleurs et les lettres d'excuses ne marche pas du tout. J'avais acheté des fleurs et ecris la lettre d'excuse moi même mais j'avais envoyé Ben les lui donnés. C'est pathétique mais je n'es même plus le courage de me tenir devant elle, sans appréhender sa réaction.... Et dire que je me tient devant bien pire qu'une jeune femme d'un 1m64. Et contre toute attente  après que Ben lui es donné ma lettre et mes fleurs. Elle c'était rendu devant moi, mon visage c'était immédiatement illuminé. Je croyais qu'elle venait me voir pour se rabibocher avec moi. Mais c'était juste pour déchirer la lettre non  ouverte devant moi et me jeter les fleurs à la figure.

Ce jour la j'avais tellement la haine que je ne voulais parler à personne et la famille ne faisait pas exception, même à l'équipe et même pas à "lui". Je soupire de mécontentement, rien ne vas pour moi en ce moment. Libie ne parle pas et "lui" n'est même pas au courant de la situation ici. Je dois essayé de régler le problème Libie au plus vite pour ne pas qu'il l'apprend. Mais que faire...moi qui croyait connaître Libie au plus au point, je me trompait lourdement. Elle a plus de caractère qu'elle ne laisse entendre et malheureusement une volontée de faire pour ne pas me parler. Je continu de cogiter encore quelque minutes jusqu'à m'endormir la tête pleine de réflexion.

Quelque heures plus tard

19h52

Le soleil décline.

Je suis dans un état de semi somnolence quand j'entends quelqu'un m'appeler. Ces vagues mais je peut l'entendre.

...... : Nito

J'entends mais je n'arrive pas pour autant à bouger mon corps, j'ai l'impression qu'il est si lourd.

...... : Nito

Encore une fois, j'essaye de faire papillonner mes yeux mais elle pèse trop lourd. Une main froide me touche et me secou doucement

...... : Nito, ça suffit reveille toi maintenant.

Puis d'un seule coup, l'amac se retourne brusquement, me faisant tomber au sol par la même occasion.

Nito : haaiii... Mais c'est qui ce gros....

Julian (mon père) : Ce gros quoi Nito ?

Je lève mon regard vers mon paternelle qui me devisage avec agacement.

Papa : Tu t'apprêtais à insulter Nito, d'accord c'est de ton âge même si ta mère n'est pas d'accord. Mais si tu ne veut pas que Libie insulte aussi, ne le fait pas non plus Nito. Tu a toujours été un exemple pour elle alors conduit toi en temps que t-elle.

Je m'assis à même le sol du balcon et répond brièvement.

Nito : Ne t'inquiète pas elle ne me prendra plus pour exemple de toute façon.  Di-je avec agacement

Il soupire, puis reprend.

Papa : Je ne sais pas qu'est-ce qu'il y'a entre toi et Libie c'est dernier jour, mais ne t'inquiète pas. C'est sûrement passagé, vous avez toujours été proche et cela depuis votre enfance. Je ne pense pas qu'une simple dispute pourrais la faire renoncée à tout ceux que vous avez construit. Une amitiée ne s'arrête pas du jour au lendemain Nito.