Chapitre 2

154 3 0
                                    




PDV Libie DE SUSANA


Après cet-échange des plus torrides avec ma mamà, ma mère par dans la cuisine rejoindre mes tantes. Mon père lui retourne à ça discussion avec mes oncles, moi je rejoins mes cousin(es) dans le salon. Je me plante devant eux et dit.

Libie : Hola tout le monde. Di-je avec un sourire.

Okkkkk, personne ne se retourne vers moi. Tout le monde continu sa petite conversation et tout le monde m'ignore.
Bon d'accord.... Ils préfèrent la manière forte comme d'habitude.

Libie : BANDE DE PETIT CON, VOUS ALLEZ M'ÉCOUTEZ OU QUOI ?

Au son de ma voie plus élevée, tout le monde se retourne vers moi. Ils me fixent quelque seconde, puis ils éclatent de rire, tellement que je vois Ben et Nito ce tenir le ventre.

Ben : Les gars.... ho putain j'en peut plus. Ils continuent de rire comme si j'avais fait la meilleure blague du monde. Moi qui est crue que pour une fois, je m'étais fait respecter. Quelque minutes plus tard ils se calment tous. Puis ils se lèvent pour venir me faire une accolade chacun à leurs tour. Pour finir par Ben, Nito et Cassandra.

Ben : Salut petite cousine. Dit-il avec un souire juste trop mignon. Ta encore essayée de faire... il recommence à rire de plus belle, sérieux ??
Désolé, c'est juste qu'à chaque fois que t'essaye de te faire respecter... On dirait un chat de deux jours qui ronronne. T'es juste trop mignonne. Dit-il on se retenant de rire, je lui donne une tape sur le ventre mais bien évidement il ne ressent strictement rien. Essaye toujours petite cousine.

Nous riions tous du peut de force que j'ai dans mes bras avant de me faire tirer vers l'arrière par de puissants bras. Nito.

Nito : Viens la toi. Dit-il en m'entraînant dans une accolade comme il sais si bien le faire, juste trop doux. Nous restons de longue seconde ainsi sans qu'aucun de nous n'osent parler, mais bien évidemment Ben ne reste jamais plus d'une minute sans ouvrir la bouche.

Ben : heu c'est bon la... Dit-il en rigolant nerveusement. À force de la serrée comme ça elle vas finir par entrée en toi, du calme mec.

Nous finissons par nous séparer à contre coeur, il rive son regard dans le mien et me plante un baisé sur le haut du crâne.

Nito : Tu m'avais manqué toi et on plus tu à bien garndi. Tu ressemble de plus en plus à une femme maintenant. C'est vraiment gênant d'entendre que l'on devient une femme, parce que pour ma part je n'es pratiquement pas changée.

Libie : Toi aussi tu m'avais manqué Nito et toi aussi tu a grandi, tu a.... pris.... du muscle oui c'est ça du muscle.

Depuis que je connais Nito et Ben chaque année leurs musculature se développent de plus en plus. Ils ont toujours eu une importante musculature, même à 6 ans ils avaient déjà des abdos bien dessiné.

Nito : Libie tu te rend compte que cette phrase, tu me la sort chaque année. Dit-il en rigolant. Je rigole aussi un peut honteuse, parce qu'il a totalement raison.

Cassandra : Et moi alors en m'oublie ? Y'on a toujours que pour ces deux-là. Je me retourne pour croiser le regard assassin de Cassandra envers Nito, Ben et.... moi ???

Libie : Cassandra je t'aime, tu sais mais la tu me terrifie avec ton regard. Elle rigole de mes propos et me prend soudainement dans ses bras. Elle aussi elle m'avait beaucoup manquée, son parfum, son corp, son doux visage, j'adore vraiment tout cher Cassandra. Pour moi c'est la grande soeur que je n'ai jamais eu, mais comme je dit toujours dieu a juste oublié de me la donner, ça ne veut pas pas dire que ce n'est pas ma sœur.
Ma Cassandra.

Mon frère, Mon homme Où les histoires vivent. Découvrez maintenant