Chapitre 2: La nouvelle au royaume

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Cela faisait plus d'une heure que Edmond traversait la forêt. Il pense qu'en montrant l'enfant au roi Orion, celui-ci l'aiderait peut-être à comprendre qui est l'enfant. En approchant du château Edmond hésita a montrer l'enfant au roi Orion, il s'arrêta donc et regarda le château.

Le château était majestueux, il se trouvait au dessus de la forêt, qu'on surnommait les étendues de l'esprit vert.

A peine sorti de la forêt, deux gardes interpellèrent Edmond, ils le fouillèrent et lui posèrent d'innombrables questions avant de l'accompagner jusqu'au grande porte de la citadelle. Lorsque Edmond entra dans la demeure, celui-ci fut surpris de voir la grandeur de l'espace données pour ce château, il y avait d'innombrables sculpture et on pouvait voir beaucoup de piliers en pierre. Il traversa un nombre incalculable de pièces avant d'entrer dans la salle des trône. Une fois entrée dans la pièce, Edmond se mit à genoux et interpella le roi en prononçant ce petit mot «Sir».

«Je n'ai pas le temps de m'occuper de toi et de ton enfant, nous sommes en guerre! Dit-il à Edmond. Garde! Enmener moi cet... Ce paysans en dehors de ma Citadelle!

- Attendez Sir, ce n'est pas mon enfant je l'ai trouvé au bord de la rivière, il y a une lettre avec! Dit Edmond, en donant la lettre au roi.

Celui-ci prit la lettre pour la donner à son conseiller.

- Et que ferais-je de cet enfant! Je ne suis point un serviteur! Dit le roi.

- Cet enfant viens des montagnes, il s'appelle Osiris! S'écria le conseiller inquiet

Le roi pris la lettre et la lu trois fois:

- Arrêtez avec ces sordide! Tu ment! Tu ose venir dans ma Citadelle, en prétextant la paix! Cria-t-il de sa plus grosse voix. Garde enmenez moi ce bouffon dans les cachots et brûlez moi cet enfant!!

Les gardes hésitèrent et finirent par obéir. Edmond se débattaient dans tous les sens et il n'arrêtait pas de crier de laisser l'enfant. D'un coup, on entendit une voix criez plus forte que les autres et fit taire tout le monde. C'était un homme encapuchonné, il se trouvait dans le seul endroit où la pénombre régnait, c'est-à-dire tout au fond de la salle à gauche. L'homme s'avança dans la lumière sans enlever sa capuche, on ne pouvait voir que son nez et sa bouche, il s'arrêta et ouvra la bouche pour parler mais aucun mot ne sortit. Le roi prit d'impatience l'invita à parler:

«Qu'y a t-il Emerys? Parle donc, je t'écoute!

Emerys se colla au roi de sorte que sa bouche soit proche de l'oreille du roi.

- Gardez l'enfant, imaginez que la légende soit vrai! Imaginez ce que vous pourriez faire! Il pourrait vous être utile pour vos tactique militaire!

- (un peu confus) Mais... mais comment saurais-je... que ce n'est pas une arme contre moi et mon royaume... S'expliqua le roi.

- Justement Sir, laissez le moi et s'il devient trop dangereux je n'aurai qu'à...

- Ce n'est qu'un enfant! Coupa Edmond.

- Taisez-vous, petit insolent! Cria Orion à l'intention d'Edmond. Je vous laisse l'enfant! mais que fait-on de lui! Montrant Edmond d'un doigt vulgaire.

- Je le donnerai en chair à pattée à mes chiens de chasse, mais pas ce soir il ont mangé ce matin. Je vais quand même vous le prendre je crois que vos cachots sont assez bien remplie pas la peine de les remplir encore plus.

- Non, vous avez raison.

- Ce fut un plaisir de parlez avec vous, Sir.

Et sur ce, Emerys parti de la Citadelle accompagné d'Edmond qui tenait dans ses mains Osiris. Une fois arrivé devant la maison d'Emerys, celui-ci tapota l'épaule d'Edmond et lui répondit:

«T'inquiète pas je n'ai pas de chien.

- Mais vous avez dit que...

- J'ai menti, tiens il me reste un peu de soupe.

- Sur quoi d'autre avez vous menti, car mentir au roi est un peine de mort.

- Tait toi! Sans moi, toi et l'enfant seriez mort demain à la première heure!

- Mais qui êtes-vous? Pourquoi m'aidez-vous? Insista Edmond.

- Arrêt, ou je te lâche toi et l'enfant en plein dans la forêt! Je ne crois pas que tu y survivrai la nuit! Cria Emerys, d'une voix a faire trembler les murs.

Edmond ne chercha plus à parler de la soirée et se demanda où cette histoire allait bien le mener. Il se coucha sur des draps qui lui sembla être parfait pour en faire un lit. Nos deux hommes mirent peu de temps avant de s'endormir.

L'âge d'orOù les histoires vivent. Découvrez maintenant