vivre vite

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Les rires de centaines d'élève se faisait entendre, des rires moqueur, suivis de critiques et insultes.

Toute cet intention était réservé à Mia, à peine le portail passé la voila au sujet des conversations, beaucoup était dégoûté de poser leurs regards sur elle.

Il est vrais que Mia n'a jamais été une fille mince, toujours de bonne joue potelé, des doigts boudinés, un ventre bien rond mais cela ne souciait en aucun cas cette jeune fille à l'époque pleine de vie.

Très vite les médecins lui on diagnostiqué un surpoids pour ne pas employer les mots crues "grosse" "obèse" "énorme", pourtant ces mots lui était destiné et elle entendais ça tout les jours devenant son prénom officielle
"mia la grosse".

Au début ce n'était que des petits piques, les amis de Mia l'ont laissé jugeant celle-ci comme un "fardeau" pour leur réputation et très vite tout dégénéra, les insultes, les moqueries et les coups..

La vie quotidienne de Mia était de baisser la tête et acquiescer ce qu'elle recevait jugeant de le méritai tant elle se dégoûtais elle même.

Devant sa mère cette jeune fille c'était crée un monde auquel des filles de son âge avait, mais pas elle, beaucoup de copine et elle s'entendait avec toute l'école et surtout le fait d'être heureuse.

Tout cela était faux et une fois la nuit tombée et le soleil levé ce monde disparaît pour la réalité bien trop dur pour elle.

Mia à l'époque venait de fêter c'est 15 ans, bientôt le lycée se dit-elle, elle voulait quitter cet enfer qui n'était que le collège.

Ce lundi matin Mia pris son déjeuner et deux trois brioches au chocolat pour son petit creux, elle ajusta son uniforme et embrassa sa mère pour une nouvelle journée de cour.

En montant dans le bus l'enfer commença, les personnes jeunes et âgée jugeaient sont corps trop "gros" ils la comparait aux jolies filles mince et disait tout fort qu'elle devrais avoir honte.

Arrivé au collège déjà beaucoup la critiquait tout fort « tu aurais dû rester dans ton lit la grosse on veut pas te voir», en classe aussi les critiques fusaient « la chaise va casser l'obèse »

Son seul recoin pour être tranquille et pleurer était les toilettes, elle se cachait dedans la moitié du temps pour fuir les démons et les regards, mais aujourd'hui ce ne serait pas le cas..

A cet heure si personne ne air dans les couloirs et encore moins dans les toilettes c'est le seul moyens pour elle de manger son repas en tranquillité sans qu'on la juge.

Mais d'autre avait décidé de rompre sa tranquillité ayant jugé trop important de l'humilier et lui faire regretter qui elle était.

La porte s'ouvrît et Mia sursauta faisant tomber sa brioche sur le sol, très vite trois filles et deux garçons se tenait devant elle lui souriant de la manière la plus provocatrice possible.

...:on va te faire ta fête la grosse.

...:j'ai pas envie d'aller au toilette après un porc comme toi !

...:sûrement grâce à nous tu va arriver à perdre du poids pétasse.

L'un des garçons tira Mia par sa cravate et là balança comme une ordure sur le sol froid des toilettes, l'une des filles sortie son téléphone pour capturer ce moment qu'elle juger faire le buzz sur les réseaux sociaux..

Ce jour-là Mia se fit frapper par cette bande d'amis populaires, son corps avait était montrer à des milliers de personnes et frappé fort lui ayant laisser de nombreuse marque.

Les larmes ne coulait plus comme si son corps avait arrêter de pleurer ayant pris l'habitude de souffrir, elle se contente d'adhérer les coups qu'elle recevait et d'attendre la fin de ce cauchemar.

Sur les réseaux sociaux la vidéo faisait le tour du collège, les commentaires étaient tous méchant enfonçant plus Mia, disant qu'elle méritais ce qu'il lui arrivais.

Mais c'était la chose de trop, sourire n'était plus envisageable, mentir à sa mère n'était plus possible.

Elle rentra tôt des cours ayant séché les derniers heures de la journée pour rentrer chez elle et sûrement crier à l'aide.

Mia aire dans les rues de Busan pour arriver à son domicile, son regard vide était plongée au sol, elle n'avait même pas pris le temps de se rhabiller correctement.

En poussant la porte de chez elle la voix douce et mélodieuse de sa mère l'accueille chaleureusement comme à son habitude, mais ne reçu aucune réponse de sa fille chérie par reflex elle se dirigea vers l'entrée..

Seul un souffle coupée ressenti la mère de Mia, se précipitant immédiatement vers sa fille et la prendre dans ses bras et caresser ses cheveux long et emmêlés.

Pour la première Mia recevait un semblable de compassion, et pour la première fois elle demanda de l'aide.

Ce soir la les deux femme se confia longuement surtout Mia lui expliquant son quotidien, la mère de Mia elle ne pouvait retenir les larmes qu'elle gardait en elle, elle promis une chose à celle-ci que tout cela était terminé et qu'elle vivrais heureuse a présent.