ma peau est comme un jardin,
dont je ne fais que déterrer les impuretés.
je le fais seulement pour voir mes roses rouges grandir,
avant de les cacher sous un pull.
je ne montre mes fleurs à personne,
leur beauté n'est destiné qu'à moi même.
à travers le regard des autres, elles ne sont que de vulgaires mauvaises herbes.
je n'aime pas déterrer mon jardin,
parce que leur parterre ne guérira jamais.
mes fleurs se nourrissent d'obscurité,
et personne ne sait comment je me sens.
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lames et larmes
Poetryj'ai eu l'idée de poster mes petits textes, il n'y en a pas beaucoup mais peut-être que ça me redonnera l'envie d'écrire!