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Ceci est un lemon (=relation sex***le) donc si vous lisez, vous en prenez la responsabilité. A partir de 15 ans, majorité sexuelle aux yeux de la loi.
J'ai l'impression ça fait longtemps que j'en n'aie pas fait de lemon, pas d'inspiration mais ça y est ! X)
HISTOIRE :
Vous appartenez à Carla depuis 3 mois déjà, une servante, une esclave peut être. Vous ne pouvez pas sortir du manoir. Vous ne pouvez pas vous éloigner de lui. Rien. Il est votre maître absolu, un maître d'apparence délicate et raffinée, mais dont le regard d'or liquide vous brûlait par sa simple caresse. Ce maître vous impressionnait, que ce soit par son étrange douceur envers son esclave, que par sa dureté face à vos erreurs.
Trop souvent, vous avez envie qu'il vous prenne dans ses bras, ce maître si particulier. Il le fait parfois, une main sur votre taille, une main qui descend le long de vos courbes, vous faisant trembler. Une envie d'être son petit oiseau en cage, un amour qui consume les sens lentement en des désirs enivrants.
Ce soir, vous devez venir dans la chambre de votre maître, pour le coucher comme chaque jour. Dans votre tenue de servante, vous entrez dans son antre. Il y fait sombre, de petites lanternes diffusent une lueur rouge, et parfois dorée, dans la pièce. Les draps de satin, couleur sang, réfléchissent doucement cette lumière sous le lit à baldaquin. L'ambiance vous y semble toujours unique, les décors asiatiques raffinés, cette lumière, tout parait vous faire entrer dans un songe dont l'on ne se réveillerait jamais.
Carla est déjà installé au milieu de ses draps, en robe de chambre grenat. Ses traits fins, ses cheveux blancs, sa peau pâle, vous ne voyez plus que lui. D'un regard, il vous intime d'approcher et murmure "Ferme à clé". Vous refermez derrière vous la porte à clé, ayant l'impression d'avoir fermé votre propre prison et d'en avoir jeté le sésame.
La clé dorée tombe de votre main à celle de Carla. Il enferme la clé dans son poing lentement et la glissa sous son oreiller. Il pose une main sur votre taille avant de la faire glisser sur votre fesse, il appuie, il veut que tu montes avec lui. Vous retirez vos chaussures dans un bruit mat, le bruissement de votre robe se fait entendre lorsque vous vous hissez à lui.
Le vampire sourit, il pose une main sur votre poitrine et la caresse à travers le tissu, doucement. Son toucher léger vous procure pourtant de délicieux frissons, alors le maître dénoue le tablier dans votre dos, puis le fait tomber au sol. Il vous veut. Et vous, vous le vouliez depuis plus longtemps encore. Vous détachez votre jupe sur le côté, Carla sourit en glissant ses doigts entre vos cuisses, caressant la blancheur de votre fabrique. Une main à vos lèvres, vous rougissez lentement.
Le vampire remonta sa main sous votre chemisier, lui aussi blanc. Vous devez le retirer pour lui alors vous obtempérez. Votre maître est toujours silencieux, comme à son habitude ; seul son sourire vous parle, et vous savez qu'il apprécie. Il fait glisser ses mains le long de vos courbes, passant sur la poitrine, les côtes, le ventre, les hanches, et surtout les cuisses qu'il tâte avec une certaine affection.
"Maître, permettez moi..." Vous ouvrez l'habit du vampire, nu sous sa robe de chambre. Si beau, vous décidez de lui retire les manches. Lui se laissa faire, mais murmura : "Ojou-sama... divertissez moi..." En rougissant, vous vous penchez sur lui et touchez son torse en de délicieuses caresses. Bientôt, le vampire abaisse votre tête de sa main, plaçant votre bouche contre les bourgeons de rose masculin. Vous entrouvrez les lèvres, et lui procurez ses désirs. Il soupire doucement en ayant une main entre vos cuisses, caressant à vous rendre humide au toucher.
Le vampire repousse votre tête et relève votre menton vers lui. Vous aviez ce regard suppliant et perdu, qui lui faisait vous aimer ainsi. Ses lèvres glacées capturent les vôtres, avides et sensuelles, il mord délicatement pour entrer. Sa fine langue rencontre la vôtre, tandis qu'il retire le tissu qui cachait vos deux petites pommes. Des doigts fins à la chaleur des glaces les cueillent et en font éclore les fleurs. Le plaisir monte dans votre poitrine et vous soupirez désespéramment dans le baiser.
L'homme fait descendre vos mains entre ses propres jambes, et vous fait enlacer la virilité bientôt dure. Vous le chérissez ainsi, sentant vivre le plaisir de votre maître sous vos doigts. Votre face est toute rouge et votre respiration saccadée. Vous tenez votre maître, littéralement, alors que lui attaque votre fleur féminine en la pénétrant de ses doigts. Carla gémit presque, un son mélodieux à vos oreilles. Il passe une main dans vos cheveux pour que vous regardiez en bas, puis il retire ses doigts de vous et les lèche doucement.
Vous pouvez voir une fine écume émaner de lui alors qu'il vous presse contre sa virilité. Vous léchez timidement le liquide, puis suçotez l'extrémité. Le vampire laisse échapper un gémissement de plaisir étouffé. Vous voyez qu'il a renversé sa tête en arrière et qu'une de ses mains agrippe l'oreiller avec force. Pourtant la vue est de courte durée, l'autre main du vampire vous presse d'aller plus loin. Vous mettez le membre en bouche et lui faîtes mille douceurs raffinées.
Vous repensez à l'expression de Carla quand il prend du plaisir en même temps, vous êtes humide à en couler. Le maître le sent mais vous fait languir. Son membre est d'ailleurs rectiligne, il maintient votre tête pour que vous ayez en bouche son liquide fécond. "Avale." Demande t-il en vous regardant dans les yeux, ce que vous faîtes, le cœur battant à tout rompre. Il vous fait vous redresser pour vous embrasser délicatement, avant de vous faire asseoir cuisses écartées sur son membre. "Brave demoiselle... Montre moi ton plaisir..." Chuchote t-il à votre oreille. Il s'enfonce doucement en vous, par légers coups de hanche qui vous arrachent des gémissements suppliants.
Une fois que vous prenez le rythme, Carla glisse sa bouche à votre sein et l'excite bien vite à son paroxysme. Son membre est terriblement enfoncé et c'est vous qui menez pour atteindre le sommet du plaisir. Votre jouissance se déversa sur la virilité de l'homme dans un cri étouffé, le vampire vous renverse subitement sur le dos et continue en vous à un rythme bien plus soutenu. Il vous tient les cuisses avec force. Ses actions ont tôt fait de vous faire jouir à nouveau, vous et lui. L'homme vous relâche enfin et sa tête passe entre vos jambes pour nettoyer votre fleur des fluides intimes. Une sensation douce et légère, quasi réconfortante.
Il se remet dans ses coussins, allongé, et vous attire à lui, tête contre son torse. Une main se pose dans votre douce chevelure et les lèvres du vampire viennent embrasser votre front : "Ojou-sama... Nous recommencerons, sois en sûre." Vous êtes définitivement celle qu'il lui fallait, il aura besoin de vous à ses côtés, perpétuellement.
BONUS :
Vous remarquez le lendemain que vous avez laissé des traces rosées sur le torse du vampire... Il vous regarde, puis son torse, puis vous de nouveau.
Il sourit : "Ojou-san, vous êtes si passionnées."
Vous devenez rouge pivoine en repensant à votre nuit, vous aviez fait... Tant de choses !!!
Carla l'embrassa : "Allez donc préparer notre bain."
Plus qu'un ordre, vous sentez qu'il s'agit là d'une proposition que vous acceptez. Dorénavant vous êtes et sa maid et sa femme... Vos seules punitions se feront au lit maintenant.
