ADULTERY

Christopher

-Déverrouille, les portières et laisse moi sortir.

Ariane est complètement hystérique, elle tremble de la tête au pied, assise à mes côtés. je lui ai fait peur, je le sais. Mais là je m'en tape. J'allume une clope, et fais mine de l'ignorer.
J'ai cru devenir fou, quand dans la boîte, je l'ai trouvais enlacé au bras de cette petite fiote de bodybuldeur. Ils dansaient collés serrés et j'ai vrillé putain! Voir les hanches de mon ex, se déhancher sensuelement au rythme d'une musique entraînante, les bras levés en l'air. Et lui, qui bavait sur elle. Beurk! J'en ai encore la gerbe. J'étais à mille lieu de l'imaginer au pacha club, se soir et encore moins, en charmante compagnie. Si moi, j'ai l'habitude de sortir, elle, non. Ce devait encore être une idée de sa vieille copine. C'est une vrai dévergondée cette meuf! Elle n'a jamais pu me voir et c'est réciproque. On va dire qu'ont se toléré, pour Ariane. Pour quel raison elle a influencer ma femme à sortir?

Je me gare à l'abris des regards, dans un endroit perché, dans les hauteurs de L.A, là, où personne ne peut nous voir, j'éteins le contact et trop énervé me rallume une cigarette.

-Ouvre la fenêtre.

Je me fiche, de ces recommandations. Ont est dans ma caisse, je fais ce que je veux. Je sais qu'elle a en horreur,l'odeur de la cigarette, si j'ai toujours pris le soin de ne pas fumer dans des endroits confinés en ça présence là je m'en contre fou.

-Qu'est-ce que tu foutais dans ce club?
-T'es sérieux là , tu m'a emmené jusqu'ici, uniquement pour savoir ce que je faisais en boîte.
-Répond!
-A ton avis? (...) pour m'amuser abrutis! Ça faisait des lustres que je ne m'étais pas autant amusée.
-Ah parce que trémousser du cul avec le premier venu, t'apel ça t'amuser toi?
-Je trémousser rien du tout Christopher, je dansais. T'entend je DANSAIS.
-TU FAISAIS LA PUTE, VOILÀ CE QUE TU FAISAIS!
-RETIRE ÇA TOUT DE SUITE!
-Tu me dégoûte. Si tu savais comme tu me répugne.
-Je te le répète une dernière fois; je ne faisais pas la pute, je d.a.n.s.é!
-C'est pareil!
-Non, non ,c'est pas pareil y'a une grande différence entre faire l'aguicheuse et s'amuser.

Putain ce qu'elle me soûl, elle est tellement bornée que je n'arriverai pas à lui faire entendre raison.

-Bon, tu me ramènes. J'ai envie de rentrer.
-Non.
-Comment ça, non. Ont na plus rien à se dire je te signale.
-Au contraire ont a pleins de chose à se dire.
-Ah, oui, quoi donc ? Qu'est-ce que le grand Christopher Mason a, à, me dire?
-Bein, va s'y puisque je suis coinçais ici avec toi, je t'en prie commence.
-Déshabille toi.
-Pardon?!
-A poile, allé ...!
-T'es taré! Ça va pas, qu'est-ce qu'il te prend t'es ivre ou quoi?
-Je suis parfaitement lucide au contraire, allez bouge toi, ou c'est moi qui le fait.

Je sais pas ce qu'il me prend, l'adrénaline de nos joutes verbales m'excite j'ai besoin de l'avoir sous moi, de la contrôler de me dire que cette femme peut encore m'appartenir. La scène de tout à l'heure m'a rendu vert de jalousie, si Ariane ne m'aurait pas stoppé j'aurais terminé se mec.

Vu qu'elle ne coopère pas je prend l'initiative de le faire moi même . Je la fait basculer sur mon siège, le baisse à fond jusqu'à être complètement allongé, là fait pivoter sous moi histoire que je garde le contrôle. J'agrippe ses poignée, les joints au dessus de sa tête là tenant d'une poigne forte pour ne pas qu'elle gigote. La domination me parcoure les veines, excite mon corps. Mon désir de la subjuguer s'empare complètement de moi. En tant normal j'aime la faire mienne par choix et non par la force, mais Ariane est ma plus grande conquête. Elle est irritée, que je puisse encore la dominée. Elle à le corps tendu, et sa lèvre supérieur est légèrement retroussée. Je la connais depuis longtemps, j'ai appris à l'observer, j'ai appris à lire dans ses pensées , je sais ce qu'elle aime et ce qu'elle n'aime pas sans lui poser aucune question. Et là je vois qu'elle déteste ça.