Chapitre 2

1.2K 85 41
                                    

Dans une journée banale de cour, Ron, comme à son habitude, draguait Hermione. Mais notre rat de bibliothèque bien aimée commençais à en avoir vraiment marre. Pour Harry, cette journée était un soulagement. Car, heureusement pour lui, aujourd'hui était le jour où les Griffondors et les Serpentards avait les même cours. Et donc, il allait pouvoir souffler un peu. Oui, Harry Potter et Draco Malfoy, les ennemis jurer depuis tant d'années était devenu amis. Il faux croire que de voir son cher potty pleurer dans les toilettes de mimi Geignarde avait fais fondre le cœur du blondinet qui avait tout fais pour le réconforter. Bien qu'ils sois de très bon amis maintenant, ils préféreraient ne rien dire car Draco ne voulait pas faire copain-copain avec la belette et la miss-je-sais-tout et surtout que nos deux cachottier se voyait mal expliquer comment ils s'étaient rapprocher.

Harry considérait Draco comme son meilleur ami. D'ailleurs, le jeune dragon savait pour les sentiments du brun envers le roux le plus stupide de la fratrie Weasley et fesait tout pour le détourner de son malheur.

Les deux élèves se mirent ensemble à une même table et se mirent à papoter, Ron étant trop accaparé par Hermione pour remarquer quoi que se sois.

Draco: Alors mon p'tit Potty, toujours avec ce satané Weasmoche ?

Harry rigola doucement face à cette question à la réponse pourtant si évidente.

Harry: Bien sûr. Et toi, toujours avec Parkinson?

Draco: Merlin non! Elle était beaucoup trop envahissante et ne comprend toujours pas que je suis le seul à pouvoir t'insulter librement. Hein l'orphelin?

Et ces insultes légère continuèrent jusqu'à la fin de la journée, trahissant, pour ceux qui les connaissais bien, une amitié profonde et pleine de promesses.

Harry n'avait pas du tout envie de partir loin de son ami. Surtout que depuis quelques temps, Ron insistait de plus en plus pour qu'il devienne totalement sien. Peut-être avait il remarqué que petit à petit l'attrapeur de vif d'Or s'éloignait de lui. Il se disais sûrement qu'en se donnant à lui, il ne risquait plus de partir.

Mais, malheureusement, la journée passa. Et, encore plus malheureux, le "petit copain" d'Harry se mis en tête encore une fois de le convaincre.

Weasley entraîna Harry dans un coin de Poudlard extrêmement peu fréquenté. Il commença à embrasser langoureusement le brun, le tripotant outrageusement. Harry tentat vainement de se soustraire à cette étreinte, mais il était coincée.

Heureusement pour lui, la chance ou bien Merlin était de son côté à cet instant, et un grand bruit se fit près de la ou ils se trouvaient. Ron se dépecha de partir, ne voulant pas qu'ont les vois ensemble ainsi. Et pendant qu'il disparaissait d'un couloir laissant sa victime à son sort, une autre personne arriva de l'opposé. Harry souffla un bon coup sans regarder son sauveur avant de se stratufié au son de cette voix bien connu:

?: Ont dirais bien que sa m'a servit, en fin de compte. Je savais qu'il fallait que je face un double de ce formidable objet!
Harry: Toi!? Que fais tu la?

Le brun, déjà stupéfait par l'apparition de son ami, le fut encore plus en voyant le blond agiter un parchemin bien connu à ses yeux.

Draco: Bah alors Ryry, tu n'es pas content de me voir? Tu aurais préféré que je te laisse avec ce débile?

A cet instant, même le sourire moqueur et suffisant du serpentard ne lui suffirent pas à couper à un câlin des plus brutal mais sincère.

Draco: Wouo! Doucement griffi! Tu est en train de me décoiffer!
Harry: Fais pas le malin.

Il s'eloigna quand même de son ami et continua, les mains sur les hanche et l'air fausement énerver:

Harry: Tu aura le droit à une engueulade en règle, mais pas maintenant.
Draco: Pour ma défense, sa t'a bien aider, hein? Que s'est-il passer?

Draco repris un air sérieux à sa dernière phrase, et fronça les sourcils soucieusement en voyant le garçon devant lui baisser les yeux et faire la moue, ne lui répondant pas.

Draco: Ry. Il a fais quoi encore?

Le nommé ne le regarda toujours pas, poussa du pied un objet imaginaire au sol, tritura ses mains, regarda les murs à côté de lui qui semblait soudain fort intéressant et fini par regarder furtivement son ancien ennemi. En voyant qu'il le regardais avec insistance, les bras croisés sur son torse, l'air de vouloir rester ici jusqu'à avoir se qu'il voulait, Harry décida de répondre. Il souffla un bon coup pour se donner du courage avant de tout débaler à toute vitesse:

Harry:TusaisqueRonmeveuxdanssonlitheinetbahlàilvientd'insisterencoreetsitun'avaispasétélàjeseraiplusviergeàl'heureoùjeteparleetjepeuxledirevuqu'onparledemoncullàmaismoijeveuxpas qu'ilytoucheimagineilditHermionedanslefeudel'actionjenepourraispaslesupportermerlinjenepeuxpasdéjàtout samaislàsaseraitlagoûted'eauquiditmoiqu'ilvapasfairesasam'abienfaisrirelapremièrefoisqu'ilmel'avaisditenplusmerlinsij'avaissuilestdeplusenplusinsistantjevaisfairequoi!?

Apparemment, Draco sais parler le Harry-panique vu qu'il prit une expression de pure rage avant de balancer son point dans le mur à côté de lui. Mais vu que nous non, je vais vous traduire avec tout les points et virgules qu'il y aurait grand besoin, et après je retourne commenter la bêtise du blond.

Harry: tu sais que Ron me veux dans son lit, hein? Et bah là, il vient d'insister encore. Et si tu n'avais pas été là, je serai plus vierge à l'heure où je te parle. Et je peux le dire vu qu'on parle de mon cul là. Mais moi je veux pas qu'il y touche. Imagine il dit Hermione dans le feu de l'action? Je ne pourrais pas le supporter. Merlin je ne peux pas! Déjà tout sa... Mais là sa serait la goûte d'eau qui... dit moi qu'il va pas faire sa! Sa m'a bien fais rire la première fois qu'il me l'avais dit en plus! Merlin si j'avais su... il est de plus en plus insistant! Je vais faire quoi!?

Voilà. On peux y retourner.

Tellement en colère, Draco ne ressentir pas la douleur de sa blessure, qui saignait beaucoup, laissant voir des petits bout de ses os, le reste de la main ayant l'air briser. Il lâcha donc dans un souffle de pure rage, la mâchoire serrée, pendant qu'Harry tentait de reprendre son souffle après sa trop longue tirade:

Draco: Je vais le tuer!

Harry, surpris et effrayée, releva la tête d'un coup. Il pensait le serpentard bien capable de se qu'il venait de dire.

Le binoclard remarqua la main de l'autre, fronça les sourcils de consternation, avant de s'exclamer d'un air paniquer au blond qu'ils fallait absolument qu'il aillent à l'infirmerie. Il coururent vers le lieux indiquer par le brun, avec un blessé perdu, ne comprenant pas la panique de son interlocuteur.

Quand madame Poumfrech les vis arriver, elle s'occupa de tout, chassant celui qui n'avait rien. Harry passa le reste de la soirée dans un brouillard, se préoccupant trop de la santé de son ami pour penser à autre chose. Heureusement, Draco pu sortir le lendemain, mais ils n'eurent pas le temps d'en reparler, Harry s'échinant à éviter Ron par tout les moyens. Et toute la semaine se passa ainsi.

Bien sûr, la chance fini toujours par tourner, alors un jour, Ron réussi à coincer le survivant. Il lui ordonna que le soir même ils le ferais.

Ah croire que Draco est un ange gardien tomber du ciel, car le soir même il coinça lui aussi le sauveur, bien que plus facilement, et lui ordonna:

Draco: Potter, ce soir tu dors avec moi! Et pas de contestation, j'ai l'autorisation du vieux fou!

Tomber amoureux d'un rouquinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant