Ma vie à subitement basculé quand mon petit ami Noah est mort sous mes yeux.
Après ça, son agresseur ou la personne qui contrôle tout ça me fais chanter, si je ne respecte pas ses trois règles, mes proches et moi même risquons de payer le prix fort...
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Noah était mort. Cette phrase raisonne dans ma tête comme un cou de poignard en plein cœur. Même si ce qu'il a fait avant sa mort était ignoble, il était soûl et en colère. Et les messages qu'il m'avais envoyer suite à notre conversation virtuel, mon cœur ce serra d'avantage.
📲Oui, c'est vrai tu as raison. 📲Je t'aime mon ange ❤️
Je sers mes bouquins un peu plus fort contre ma poitrine. Tout le monde au lycée me regarde comme ci c'était moi qui avait enclencher la détente et viser la poitrine de Noah. Ma mère avait peut-être raison. Je n'aurais peut-être pas dû retourner en cour suite à ce drame mais comme d'habitude j'ai insister en me voulant forte. Mais subir les regards accusateurs de plus de 300 personnes c'est trop pour moi, je me réfugie dans une cabine de toilette et pleure silencieusement. La porte principale des toilettes s'ouvre et ce referme.
« Nalia-Ta vu la rumeur cour que Lola a engager ce type à butter Noah. » « Betty-Ouais, c'est hallucinant quand même. Ils étaient en couple et elle a fait ça. » « Nalia-Elle est pété de thune, Noah n'était qu'une distraction pour elle tout simplement. Et quant elle a vu son infidélité, cric, plus de Noah. » « Betty-C'est gord quand même. Elle avait pas l'air bien tout à l'heure.. je sais pas.. » « Nalia-Mais Betty, ta pas entendu l'histoire de la petite Fiona ? Sa mère pleurer sur les chaînes d'info pour la retrouver alors qu'elle avait disparut, elle a même accuser son mari d'être l'assassin de sa fille alors qu'en vérité c'est elle qui l'avait tuée. Les gens sont prêt à tout pour faire le buzz. » « Betty-C'est horrible. »
Le bruit d'un gloss qu'on ouvre et qu'on ferme ce fait entendre.
« Nalia-Je te le fais pas dire. Bon on y va ? »
La porte des toilettes s'ouvre et ce referme à nouveau. J'étais rester là. À les écouter inventer des histoires sur mon compte sans intervenir et nier. À dire vrai je n'es plus de force. J'ai l'impression d'être vide. D'être rien. D'être inutile. Inutile c'est ce que je suis. Et Betty et Nalia étaient mes amies.. enfin je croyais, après tout nous n'avons pas réellement d'ami. Stecy à été la seule à me soutenir. Je ne peu donc compter que sur elle. Les autres qu'ils aillent ce faire foutre, à croire de telles choses c'est qu'ils ne me connaissent pas. Je sors de la cabine et fais face au miroir. Mes yeux son brillants. Mon maquillage n'a même pas coulée. Je ferrais sûrement mieux de rentrer chez moi. Je ne serais pas apte à passer une minute de plus dans ce foutu bahut. Je sors mon téléphone Stecy m'avais envoyer un message tout comme ma mère.
📲De: Stecy👑 « Coucou ma belle, on rentre ensembles ce soir ? Et si tu veux tu passe la nuit chez moi. »
📲De:Maman💗 « Coucou ma puce, bon courage pour aujourd'hui, à ce soir je t'aime. »
📱À: Stecy👑 « Je rentre chez moi, une autre fois. »
📱À: Maman💗 « À ce soir maman💗 »
Je ne vais ni en cour, ni chez moi. J'ai besoin d'un endroit où je pourrais enfin respirer de toute cette histoire. Et je sais quel est cet endroit. Je me dirige vers mon casier, prend mon sac à main et dépose mes bouquins avant de quitter ce bahut et ses regards méprisants. Je me dirige d'un pied ferme à l'endroit où je distingue très bien les courbes dans mon esprit. Je ne calcule ni les gens qui m'entourent,ni les klaxonnes des voitures furieux d'être dans des embouteillages, ni les chiens s'aboyants dessus pour montrer qui est le plus fort, ni le regards préjugés des gens, ni les insultes de couple. Je fais simplement le vide dans tête. Je ne pense plus. Mes pieds marches seul a l'endroit qui ce dessine dans ma tête. Jusqu'à ce que j'i arrive. Je m'arrête soudain et admire la beauté de l'angle de ce paysage. Je décide de sortir mon Polaroïd et de prendre ce paysage en photo. Une pie décida même d'être la vedette. Je sourie légèrement. Et prend place sur le banc. Un décor sortit de l'imagination. Un banc en face d'une rivière et derrière ce banc à deux trois pas ce trouve une forêt et juste à côté de ce banc ce trouve un magnifique cerisier japonais. Et c'est pour ça que j'adore cet endroit, sa couleur rosâtre est juste splendide. Je me sens apaiser ici, et juger de personne. C'était notre endroit avec Stecy et Noah. On passait notre plus clair du temps ici à contempler la rivière et son bruit apaisant où réfléchir d'éventuel idée pour l'anniversaire de Stecy sous ce cerisier. J'ai pris d'innombrables photos ici tellement cet endroit est inspirant et respire la beauté chaque seconde. Chaque instant que je passe ici me détend au fur et à mesure que j'inspire et expire. Cet endroit m'aide à remettre de l'ordre dans ma tête mais là ça n'a jamais été autant le désordre. Je repense à la scène où Noah a été assassiner. Le tueur à dit « tu paie pour tes pêcher » avant d'appuyer sur la détente. On pourrais croire une phrase de justicier. Comme ci qu'il rendait service à la communauté de tué un adolescent qui à été infidèle et tricher en cour d'économie, mais ses yeux, plus j'i pense et plus je me dis que c'était de la noirceur, mais pas seulement. Quant il a appuyer sur la détente. Il est rester quelques seconde sans bouger et est partit en titubant puis en courant. Comme ci il réalisait seulement ce qu'il avait fait.
« ?-Je pensais que tu étais chez toi. »
Je sursaute à l'entente de sa voix.
« -Et toi que tu étais en cour. » « Stecy-À croire que c'est le cadet de nos soucis. »
Je lui sourie tristement. Elle s'assoit à mes côté. Je baisse la tête.
« Stecy-C'était... notre endroit. » « -Et ça le sera toujours. »
Je relève ma tête et croise ses yeux. Elle sourie tristement et pose sa tête sur mon épaule.
« Stecy-Je n'aurais jamais dû avoir l'idée d'aller en boîte. On été bien chez moi et... » « -Ce n'est pas ta faute Stecy, je t'assure. »
Elle ne répond pas.
« Stecy-Est ce que.. la police t'a interrogé ? » « -J'ai eu une courte discussion avec le Shérif hier mais je le revois dans la semaine... et toi ? » « Stecy-Je le vois tout à l'heure. Mais je ne vais rien lui procurer de plus. Je n'es pas vu la scène. Je suis arriver seulement quand la dernière détente a été tirer, comme toute personne étant dans cette boîte. »
Je l'entends renifler. Je me mord la lèvre. Il ne faut pas que je pleure, pas encore. Stecy ce relève.
« Stecy-Je vais y aller, j'ai rendez-vous avec ma mère, tu sais, elle veut que je puisse répondre à toute sorte de question. » « -D'accord. »
Elle me fait une bise et s'en va. Étant donner que sa mère est avocate, elle n'aura aucun mal à répondre correctement sans bégayer au Shérif, même si elle n'a rien à ce reprocher. Mon téléphone ce mit soudain à sonner. Quand je vois l'interlocuteur, mon cœur s'arrête. C'est impossible, mon corps reste inerte et mon sang n'a plus l'air de circuler. Je suis prise soudain d'une crise d'angoisse.
