Ma vie à subitement basculé quand mon petit ami Noah est mort sous mes yeux.
Après ça, son agresseur ou la personne qui contrôle tout ça me fais chanter, si je ne respecte pas ses trois règles, mes proches et moi même risquons de payer le prix fort...
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Je viens de sortir du bureau du proviseur. Car comme je m'en douter, la rumeur est revenu à ses oreilles.Il ma convoquer et m'as donner toutes sorte de brochure pour pouvoir sortir de ça, bla-bla-bla. Ça à tout simplement finis dans la poubelle à l'entrée de son bureau. Ma mère va être convoquer cette semaine. Gé-nial. Comme ci elle avait besoin de ça en ce moment.
« Stecy- Alors ? » « -Ma mère est convoquer cette semaine. » « Betty- On a vraiment la poisse en ce moment. »
Je regarde Betty qui avait l'air autre part. Si elle savait que je l'es protéger en faisant ça, je suis sur qu'elle ce sentirait hyper mal. Je parlais un peu avec les filles avant qu'une personne adosser à mon casier retienne mon attention.
« -H ? Qu'est-ce que tu fais ici ? »
Il lance un dernier regard à Evans quelques mètres plus loin avant de reporter son attention sur moi.
« H- Faut qu'on parle. »
Je repense à notre dernière rencontre, et ce baiser qui n'avait pas lieu d'être.
« - J'ai finis t'as cas m'attendre à ma voiture. »
Il hoche la tête avant de partir.
« Betty- Y'en a qu'on de la chance. » « -C'est un simple ami. » « Stecy- Allô ! Lucas est un ami, pas H. » « -Qu'Est-ce que tu raconte, je t'es déjà dis Stecy que H n'était rien d'autre qu'un ami. »
Je range les livres de cours dans mon casier et prend mon sac.
« Betty- Ami avec ambiguïté. » « Stecy- Ami plus plus. »
Elles ce mettent à rire et je referme mon casier en levant les yeux au ciel.
« - Vous êtes incroyable. »
Elles rient et nous sortions du lycée, comme je lui avais dis, H était devant ma voiture sur son téléphone.
« -Bon, à demain les filles. »
Elles me sourient avec pleins de sous-entendu, on ne l'es changera pas.
« - Tu voulais me parler ? » « H- Ouais, allons chez moi. »
J'hoche la tête et tout le trajet régnait un blanc insupportable. Lorsqu'on arrive chez lui je le sens de plus en plus mal-à-l'aise. Une fois arriver chez lui H ne décroche toujours pas un mot.
« -H, qu'est ce qui y'a ? » « H- Je suis désolé. »
Je ne comprends rien à ce qui à suivit, H c'est approcher de moi avec un couteau.
« -Qu'est-ce que tu fou H, H putain recule toi ! »
Je me recule le plus loin que je peu, il s'approche et je vois dans ses yeux qu'il s'en veut déjà en avance de ce qu'il veut faire.
