Un peu de plaisir ce matin ?

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Réveil.
7H00.
Le son de mon réveil résonne dans la pièce, ce qui a pour cause de me faire sursauter. Je l'éteins avant que mon amour ne se réveille. La chambre est faiblement éclairée d'une lueur de soleil provenant de la fenêtre. Les rideaux ont été mal tirés. Je repose ma tête contre le torse de mon bien-aimé, et écoute sa respiration régulière. Mon corps nu est étendu sur le sien, ses jambes légèrement écartées, me laissant de la place pour mes jambes. Je passe une main sur son épaule et me remémore notre nuit tumultueuse. Nous revenions d'un dîner professionnels, et le manque physique de l'un et de l'autre s'est fait ressentir en rentrant à la maison. Un rien peu l'exciter. Et hier soir, voir mon dos dénudé dans la robe que je portais, lui a fait de l'effet. Je dois dire que je ne peux pas me plaindre. Sa libido est toujours très active. Ça a parfois le dont de m'épuiser moralement comme physiquement.
Il faut que je me prépare pour partir d'ici vers 7H20 et arriver au bureau à 8H00. Je me dégage délicatement de son étreinte, et me dirige vers la salle de bain, sans un morceau de tissu sur la peau. Je fais couler l'eau de la douche et me dirige vers le miroir, attendant qu'elle chauffe. Je m'obsèrve en détail et remarque certains changements physique. Avant ma rencontre avec James, j'étais muni de quelques formes et maintenant, après deux ans de relation, j'ai réussi à les perdre. Mon ventre s'est aplatit et raffermit, mes cuisses se sont affinés, et mes fesses sont dorénavant, construite. Mes cheveux m'arrivent maintenant au milieu du dos, et se sont éclaircis au fil de la longueur. Ils bouclent toujours aux pointes, et sont toujours très épais. Je me penche en avant, fasse à mon reflet, et remarque que des cernes se sont installés sous mes yeux vert. Mes sourcils sont toujours soigneusement épiler et naturellement fournis, je n'ai donc pas a m'inquièter de savoir si j'aurais le temps de m'en occupé. Mes lèvres, elles, sont lisses. Me rappelant qu'hier soir je ne risquais pas d'être déshydratée après avoir autant bu. Chaque fois que j'abuse un peu de l'alcool, le lendemain mes lèvres me remercie. Du moins tant que je ne vomis pas, elles ne risquent pas de s'assécher. Je me dirige dans la douche, et m'immobilise instantanément lorsque je sens l'eau chaude me glisser sur la peau. Chaque parcelles de mon corps se détendent peu à peu sous la chaleur de cette dernière. J'ai pris le temps de m'attacher les cheveux avant de rentrer dans la cabine, évitant de me les mouillés pour aujourd'hui. Au moment où j'attrape le flacon de gel douche, je sens des mains se poser délicatement sur mes hanches et les presser. James me tire contre son bassin, et me prend le savon des mains pour me laver lui même. Sans me retourner je le laisse faire. Trop fatiguée pour me débattre et bien trop pressé de sentir ses mains aventureuses sur moi. Je sais que nous ne devons pas prendre le risque de nous amuser ce matin, pour éviter d'être en retard, mais je n'arrive pas à être un minimum lucide dans cette échange intime. Je sens ses mains me masser le dos, descendant jusqu'à mon postérieur, avant de revenir à mes hanches. Je le sens, lui, se coller un peu plus à moi, comblant les quelques millimètres qui restaient entre nous. En bas de mon dos, je sens déjà son érection. Ses lèvres se posent dans mon cou, remontant progressivement à ma mâchoire. Je gémis lorsqu'il sucotte, mordille et lèche mes zones érogène. Je bascule la tête en arrière, lui laissant libre accès, et ferme les yeux avec une respiration alletante. Ses mains trouvent rapidement ma poitrine et la presse entre elles. Il joue avec le bout avant de me retourner vers lui. Il me relève le menton pour que je le regarde dans ses baux yeux gris. La petite marque violette sur sa clavicule attire aussitôt mon attention, et me fait sourire. Cette nuit était très intense. Sans me lâcher du regard, il attrape de ses mains mon derrière, et me soulève contre lui. Je croise mes jambes autour de sa taille avant d'être sauvagement plaqué contre le carrelage froid de la douche. Il écrase ses lèvres aux miennes, tellement fort que ça en ai presque douloureux. J'entrouve légèrement la bouche pour qu'il puisse mélanger sa langue à la mienne. Quelques gémissement sortent de celles-ci essoufflés, jusqu'à ce que je sente son pénis me pénétrer délicatement. Il commence par des va et vient lent et régulier. Et mes cris de plaisir l'insite à continuer davantage. Je plains nos pauvres voisins qui subissent nos bruits, ou plutôt MES bruits, à travers ces murs qui ne sont malheureusement pas insonorisés. Il continue avec des coups plus sec, plus profond et plus rapide.

SUIS MOI ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant