Ewelyne Shogu, la guerre des magiciens.

Prologue

La nuit était tomber sur la ville de Lyon. Elle était paisible et les habitants dormaient paisiblement. Pourtant un évènement imprévus se passait.
Sur une des collines de Lyon, la Croix-Rousse, dans la rue Henon, devant une résidence, apparue un groupe de gens en robe noir. Ils avaient rabattu sur leurs tête une capuche venant de leurs longue cape.  Une jeune fille tenait dans ses bras un bébé, une fille. Le groupes se scinda en deux: la majorités du groupes partit faire le tours du quartier pendant que deux d'entre eux, une jeune garçon de 18 ans et un homme, restaient avec la femme qui tenait le bébé. Soudain,  le bébé se mit à pleurer.

"Tu ne peux pas faire la taire?, s'écria le jeune garçon, Elle va réveiller tous le quartier!

-Si tu croix que c'est facile, s'exclama la jeune fille, Tu n'as qu'à te charger d'elle!

-Désolé, rétorqua le jeune homme, Mais je ne suis pas venus pour ça.

-Vous pouvez vous taire tout les deux!, s'exclama l'homme, Vous vous comportez comme des enfants!

-Qui?!, s'exclamèrent les deux concernés, Nous?!

-Vous voulez que je parle de qui d'autre!, s'exclama l'homme au bout des nerfs, Et faite taire l'enfant! Elle va réveiller tout le quartier!

-D'accord, dit la femme en berçant tendrement l'enfant, Je peux poser une question?

-Tu viens de le faire, constata le jeune homme.

-Oui, répondit l'homme à la fille.

-Pourquoi faisons nous tous cela?, demanda la jeune femme, Je veux dire, à quoi cela sert d'envoyer ma sœur loin de chez nous?

-Elle n'a rien compris, ricana le garçon.

-Vois tu, expliqua l'homme, Ta sœur  est l'être qui tuera l'espèce humaine. Magiciens et normaux confondu. C'est pour cela qu'elle doit aller à Quety pour nous sauver.

-Je sais, dit la femme, Mais elle n'a rien à faire avec les Siginoï.

-Si elle va à Quety, continua l'homme, Elle ramènera l'équilibre entre les races. Elle ramènera la paix dans les mondes.

-Je ne veux pas qu'elle parte, murmura la femme.

-Il y a le reste du groupe qui revient, observa l'autre homme."

En effet, les autres membres arrivaient dans une démarche sur.

"Nous avons trouvé une famille potable, dit une femme, Les deux filles ont le même âge et se ressemblent comme deux gouttes d'eau.

-Parfait, dit l'homme, Et où se trouve cette famille?

-À deux rues d'ici, répondit la femme, Suivez-moi."

La femme les conduisit dans une rue. La jeune femme qui tenait le bébé regarda la plaque. Rue Henry Gorgue. La femme s'avança sans hésités vers le 68.

"Il faut que un seul d'entre nous fasses l'échange, expliqua la femme.

-Je m'en charge, dit l'homme en prenant le bébé.

-C'est au troisième étage sur ta droite, expliqua la femme, La chambre est au fond du couloir à gauche."

L'homme s'avança vers la porte de l'immeuble. Il la traversa comme si la porte n'était qu'une simple ombre. Il monta ensuite les trois étages et traversa de la même façon, la porte de l'appartement de droite. Dans l'appartement, tout était calme. Il n'y avait aucun bruit. Pour ne pas réveiller ses occupants, l'homme ferma les yeux et l'évita à une dizaine de centimètre au dessus du sol. Il atteignit enfin la chambre d'un autre bébé. En effet, le bébé qui dormait dans le lit et celui qui était dans ses bras était identique. Rapidement, l'homme échangea les deux bébés puis disparus. La jeune fille se retourna dans son sommeil totalement innocente de ce qu'il allait lui arrivé le lendemain.