des pas flétries
en fleurs
rouges.
la marche lente entre les
pièceset
les maisons du monde.les visages qui dévorent mes entrailles
chaque jour passent dans cette punition
presque éternelle.la télévision.
le café froid.
la fumée. la dispute inutile.
le câlin. les excuses.les marches lentes et longues
entre les chemins connus de cette maison.
et pendant que le lit me soutient,
les murs
mélancoliques me
saisissent.jour après jour.
mes entrailles sont posées sans soin,
après avoir été cruellement
déchirées.
la plage vide, je te l'ai dit.
ce soir, il n'y a plus de mots
à vomir,
il n'y a que les peintures versés
et les fleurs écrasées.
peut-être que des mots vomis sans réfléchir. c'est ça. c'est ça.
les chats se surveillent les uns les autres.
la maison sale. du café chaud. des amis. des chansons.
un coup dans le visage.
la même image de l'enfer.
nous oublions le jour où nous avons vécu hier.mort.
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Les Photos Fatales
PoesíaLes photos fatales de chaises cassées, de cœurs assis sur des poèmes blancs, chaque jour emprisonnées dans un cycle éternel de se pendre avec des pensées ou danser danser danser danser danser danser danser danser danser danser danser danser danser d...