une nouvelle vie [ En PAUSE ]

chapitre : 5

Varian et moi on c'était on était partit tôt car Beurk se faisait attaquer part une flotte de bateaux de Tagur. Tout les dragonnier on était sollicité. Varian a rencontré Astrid et sa dragonne Tempête, Rustique et son dragon Krochfer, Varek et sa dragonne Bouledogre et enfin les jumeaux, Konedure, et Kranedur et leur dragon, Prout et pète.

Harold - bon, écoutez moi les moi : Astrid, Rustique et les jumeaux vous vous allez attaqué les navires de L'est et moi,Oda et Varian on va attaqué les navires de L'ouest, bonne chance a tout.

Je me retourna voir vert Varian.

Oda - tout va bien se passer reste derrière moi.

Il aquiessa et on partit vert L'Ouest. On a commencé part attaqué les chasseurs,évitant les lancé de pierre et les flèches. Je jeta un coup d'oeil pour voir si Varian allait bien et c'était le cas. Combinant nos trois tir, on arriva à faire coulées les bateaux ennemis. On fut rejoint part les autre, les rare bateaux on battu en retraite.

Harold - c'est du beau boulot les dragonnier.

Oda - tu a était fantastique Varian.

Varian - merci....

On se sépare, pour rentrer chez nous. Après je descend de Firestorm. Je m'approche de Varian et de son Aile de la mort.

Oda - comment tu veux l'appeler ?

Varian - je crois que je vais l'appeler Acide.

Oda -c'est un jolie nom pour une Aile de la mort.

Je lui caresse son museau et elle apprécie. Je sourie.

Oda - on rentre le repas doit être prêt.

Varian - sûrement.

Nous somme rentré et effectivement le repas était prêt. On s'installa puis Stoïc nous rejoint.

Nous mangeons en silence, car je savais pas quoi dire pour couper se silence pesant.

Finalement avec Harold, on a entraîné Varian à combattre avec son dragon. Des techniques de défense très utiles. Puis on a décidé de lui faire découvrir l'île a dos de dragons. C'était génial, un jour qui restera à jamais gravé dans ma mémoire.

Puis on a admiré le jolie couché de soleil. C'était tellement jolie, puis je senti une main. Je vis que c'était Varian je ne pue m'empêcher de rougir, puis je me suis lancé. Je lui ai fait un bisous sur la joue. Je n'oublierai jamais sa tête si dérouter. J'en ai bien rie.