Spontanée mais seulement pour ces choses là
Je me mets à l'aimer, à l'adorer soudainement
Il me semble que tout est possible
J'en viens à le regarder, toujours, partout
Jusqu'à ce que ce soit plus douloureux qu'agréable
Je m'empêche alors de le faire
Je me trouve puérile
Pourtant c'est une image qui hante mais qui rend heureux
J'observe tout ce qu'il fait et c'est alors comme si je le connaissais
Ça recommence avec un autre
Mais à qui je pense exactement
Je suis perdue, seule et je cherche à combler un vide
Mon imagination est bientôt trop envahissante
Je dois arrêter puisque c'est impossible
Je dois continuer puisque ça ne fait de mal à personne
Mais à moi.

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Recueil de prose
PoetryPetit recueil de quelques poèmes en prose Entre tristesse, réflexion et mélancolie