Pour l'amour du cheikh ( Tome 1)

chapeau 17

Le reste de la journée passa extrêmement vite Manuela pris soins de dire à jasmine qu'elle était folle. Il était hors de question qu'elle s'abandonne a cette passion interdite il fallait qu'elle s'en aille d'ici car les sentiments qu'elle commençait à développé pour lui la terrifiait.
Mais le problèmes c'était qu'elle pensait tout le temps à lui, elle ne parvenait même plus à étudié sans que son visage n'envahisse ses pensées.

Qu'etait t'elle entrain de faire?

Elle referma son livres complètement abattu avec la ferme conviction que si sa mère était là elle serait dessus qu'elle se comporte comme sa sœur; elle n'était pas comme ça mais elle ne pouvait pas s'en empêcher; elle ne pouvait pas le résister. Elle tombait peut à peut amoureuse de lui.

À ce constat terrifiant, une larme solitaire coula sur sa joue. Elle détourna son visage et vit s'afficher sur l'horloge doré de sa chambre 18h33. Il lui restait donc 27 minutes pour enfilé un pour enfilé un pantalon , un t-shirt et des basket pour son rendez-vous avec le prince Caleb. Elle regrettait déjà amèrement cette décision et se demandait déjà pourquoi elle avait accepter.

Oh elle le savait !

Elle soupçonnait cette part secrete d'elle qui ne désirait qu'être dans les bras de cet homme d'avoir fait exprès pour le rendre jaloux.

Elle en était sûr.

Elle prît donc le chemin de sa salle de bain et se lava le visage et retenu ses cheveux en queue de cheval tout en vociférant des insulte contre sa propre personne.

Elle choisi donc de porter un simple jeans bleue et un t-shirt de la même couleur que lui avait offert jasmine pour son vingt-et-unième anniversaire, enfilla ses air max blanche enfourcha son sac et sorti de sa chambre.

Il était hors de question qu'elle se fait belle pourqu'il se face des idées. Elle ne voulait être belle que pour plaire à un et un seul homme mais inaccessible hélas. Elle sortie de sa torpeur quand son front se cogna à quelque chose de dur.

- On est dans la lune ? Déclara une voie grave.

Elle leva difficilement les yeux pour faire face aux iris noir du prince Caleb. Très beau et tout aussi décontracté qu'elle.

- Euh..je...je vous cherchait. Je suis prête.

Il sourit et recula d'un pas pour pouvoir l'admiré.

- Toujours aussi belle.

Comme une adolescente à son premier rancart, elle rougit bêtement tout en murmurant un "merci" timide. Il lui tendit galamment son bras et elle hésita plusieurs seconde avant de s'en saisir avec la ferme conviction que cette soirée ne serait pas aussi merveilleuse que celle de la veille.

Rachid commença à faire les cent pas dans son bureau tout en se demandant où ils pouvaient bien être. Ça faisait deux heures qu'ils étaient partie. Ils avait envoyé un de ses hommes les suivre pour lui rapporté leurs moindre fait et geste mais celui-ci ne l'avait pas donné de nouvelle. Il se reservit un verre de cognac et l'avala cul sec.

Décidé à reprendre son calme il se plongea dans l'étude de quelque dossier avant que le vrombissement d'une voiture dans les jardins ne l'en extirpe. Il se leva difficilement et se plaça devant l'immense baie vitrée de son bureau pour observé discrètement la scène. Il pouvait voir Caleb essayé de l'embrasser et fut plus que ravie la belle jeune femme le repousse. Il le vit ce pendant lui tenir la main pour l'escorter à l'intérieur et ce simple geste suffit à le mettre en colère. Il se retint de traverser les couloirs à toute vitesse et de l'arracher de ses mains.