chapitre 20

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Passant dans les couloirs pour rejoindre la chambre de la jeune femme, Rachid s'en voulu de l'avoir laissé sans nouvelles pendant tout ce temps. Tout le monde le regardait comme un revenant mais c'est Yamina qui osa l'arrêté dans le couloir.

- Votre majesté où étiez vous? Ont c'est fait un sang d'encre.

- Eh bien me voilà !

- Comment êtes vous...

- Si ça ne vous dérange pas ont en reparlera  plus tard; je doit rattraper une tigresse en fuite.

Il la laissa planté là la bouche ouverte et rejoint la jeune femme qui c'était enfermé dans sa salle de bain.

- Ouvre Habibti ! Ordonna-t-il en frappant.

- Laisse moi et va t'en je veut être seul!

- Tu veut encore que je m'en aille ?

Elle garda le silence.

- Ouvre la porte sinon je l'enfonce.

- Non!

- Bien !

Il commença à donné des coups d'épaules lourd à la porte.
De peur qu'il se fasse encore mal Manuela se précipita vers la porte qui était sous le point de céder et l'ouvrit brusquement.

- Satisfait ?

- Pas encore.

Elle vit une lueur intense brillé au fond de ses yeux quand de ses deux mains il s'empara de ses joue. Elle lui agrippa les poignets sachant parfaitement ce qui allait suivre.

- Non...

Comme à chaque fois il l'embrassa avant qu'elle ne puisse finir sa phrase.

Ce baisé n'avait rien de commun. On aurait dit que qu'il attendait ça depuis des semaines. Il ne l'avait jamais embrassé avec autant de fougue et de passion; il infiltra sa langue dans sa bouche et en explora chaque parcelles comme si c'était la dernière. En manque de souffle, il s'arracha de ses lèvres le souffle rauque la laissant toute chamboulée.

- Tu as l'aire épuisé! Remarqua-t-il en fronçant les sourcils mécontent. Tu devrait dormir.

- Toi aussi je te signal.

Sans qu'elle ne s'y attende il la souleva comme une princesse et la déposa délicatement sur le matela.

- Dors! Ordonna-t-il en lui embrassant le front.

Sur le point de partir elle lui agrippa le bras, lui suppliant du regard de resté.

- Je sais.

Il alla jusqu'à la porte et ferma celles-ci à double tour puis la rejoint. Comme hypnotisé, elle le regarda enlever son t-shirt et se mordit la lèvres en reluquant sans vergogne le roulement de ses muscles accentué par les rayons du soleil couchant.
Même fatigué il était le plus bel homme qu'elle n'ait jamais vue.
Il écarta les draps de soie, se glissa à l'intérieur et l'attira dans ses bras tout en recouvrant leur deux corps.

- Tu...tenta-t-elle de dire en lui regardant.

- Dors ont parlera quand tu sera réveillé, murmura-t-il. Bon sang j'ai l'impression que tu à perdu du poids, tu es si menu.

Elle osa posé la main sur son torse nu et soupira d'aise.

- C'est de ta faute, j'étais morte d'inquiétude et je n'avait pas très faim.

- Ça ne se reproduira plus, je te le promet.

Il lui embrassa le sommet du crâne et resserra son emprise sur ses hanches. Dans une plénitude absolue Manuela ferma les yeux avec la certitude qu'elle  lui appartenait déjà.

Pour l'amour du cheikh ( Tome 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant