Pour l'amour du cheikh ( Tome 1)

chapitre 22

Après le départ de la jeune femme, Rachid demeura dans son bureau faisant les cent pas avec la certitude de ne plus pouvoir retourner à table. Tout ce dont il avait besoin était une douche ; une bonne douche froide car il se sentait horriblement à l'étroit dans son pantalon. Il n'avait jamais autant désirez une femme. Mais iune chose le trottait l'esprit : il était hors de question qu'il la traite comme n'importe quelle femme ; elle n'était pas n'importe quelle femme, elle était spéciale. Il se promit donc de faire quelque chose qu'il n'avait jamais fait.

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Quand l'enfant s'endormit enfin, Manuela lui embrassa le front et quitta sa chambre pour se rendre dans la sienne. En réalité, elle était horriblement stressée. Elle ne s'était jamais donné à un homme et elle appréhendait se moment au plus haut point. Elle avait toujours rêvé le faire pour la première fois avec son prince charmant sans imaginé une seconde que ce ce principe serait une roi diablement sexy à la virilité déroutante.

Elle soupira avant de jeté un coup d'œil à la montre.

- Plus que vingt minutes se murmura-t-elle à elle même.

Elle s'empara de son roman d'amour préféré et décida de le lire pour la énième fois: elle l'adorait. C'était le premier  et d'ailleurs le seule roman que sa sœur avait écrit rien que pour  pour leur anniversaire avant le lycée car c'est appartir de là que tout à vraiment commencer. Elle est devenue populaire et à tué son talent dans la débauche.

Se perdant dans sa lecture elle ne vit pas l'homme entré silencieusement dans sa chambre et s'installer dans le même coins sombre que la dernière fois.

Rachid se lança à la contemplation de la jeune femme. Telle une déesse, elle était allongé jambes croisées, cheveux eparsés sur l'oreiller livre en main. S'il s'écoulait il lui ferait crié de plaisir là, tout de suite. Il degluti péniblement lorsque d'un mouvement inconscient elle fit remonter le minuscule bout de tissu qui  couvrait ses cuisses.

S'en fut trop.

Il se racla la gorge pour signaler sa présence présence afin s'empêcher de se jeter sur elle comme un fauve.

Elle sursauta et se releva toute gênée et regarda sur l'horloge.

- De...depuis quand tu es là ?

- Assez longtemps pour avoir envie de te prendre sauvagement là je présume, dit-il calmement en croisant les jambes et les bras.

Elle le vit progressivement détaché son regard brûlant du sien et le glissé sur ses... Cuisses nues ?

Elle poussa un cri indignée et ses joues prirent une teinte rouge. Elle tira sur sa robe et  cacha son visage avec les mains.

C'était officiel : demain jasmine allait mourir étranglée.

- J'aime te faire rougir hobi, tu es si belle.

Il se leva de son siège et s'approcha du lit les mains enfui dans ses poches.

- T'emmène loin d'ici ma douce. Je ne veux pas que l'ont nous dérange.

Comme un automate, elle se leva difficilement jambes cotonneuses et se plaça devant lui.

- Tu veux que je me change ?

- Non! Coupa-t-it brusquement la gorge nouée.

- Mais ...

- Chuut...

Il s'empara de ses lèvres et lès embrassa langoureusement.

- Ne gâche pas mon plaisir tu veux bien ?!