Chapitre 19

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La pièce dans laquelle je me trouvais était sombre, une ampoule pendouillait du plafond et émettait une faible lumière me permettant a peine de distinguer la porte en métal de l'autre coté.
Le bruit sourd d'une ventilation se faisait entendre, c’était discret mais le silence qui régnait augmentait le son. Un peut plus loin, a ma droite se trouvait une table, des choses étaient poser dessus mais la luminosité ne me permettais pas de deviner de quoi il s’agissait.
Je voulue me lever mais je me rendis vite compte que j’étais attacher sur une chaise, les mains fermement liées aux accoudoirs. Mes liens étais solide et quand bien même j'essayais de me libérer je ne fessais que creuser un peut plus les marques déjà a vif qui me barrait les poignets.
Je me rappela la façon dont j'avais atterrie là et je commençais a avoir peur de ce que Isaac pourrait me faire, ses paroles m'avaient fait froid dans le dos. Je frissonnais, non pas a cause de la température fraîche qui régnait dans ma cellule, oui je crois qu'on peut appeler ca comme ca, mais a cause de l'appréhension.

Le temps fut long et court a la fois, aucune horloge ni aucune fenêtre ne pouvait m'indiquer quelle heure du jour ou de la nuit il était. J'entendis des bruits de pas, une clé s'enfoncer dans la serrure puis se tourner et enfin le bruits métallique de la porte qui s'ouvre. La lumière m'aveugla un instant et je vis Isaac se rapprocher a contre jour.

-Bon, par quoi commence t-on, dit il en prenant une deuxième chaise, celle ci sans accoudoirs et en s'asseyant a califourchon dessus, les bras croises sur le dossier.

Je mis du temps a répondre, le stress, la peur, je sais pas trop comment appeler ca, me nouait l'estomac.

-Je n'ai rien a dire, en particulier à une personne comme toi!

Je déglutis, il soupira en levant les yeux au ciel.

- Pathétique petite créature...

- Je ne suis pas ... Je n'ai pas eu le temps de continuer qu'une claque de mon ravisseur me sonna et je décida de me taire afin de ne pas finir dans un cercueil ou pire.

-Je vais te poser des questions dans ce cas. Si tu me répond bien gentillement je te ferrais pas de mal, ou du moins presque pas mais sinon sache que je te ferrais parler d'une façon ou d'une autre et tu risque de ne pas aimer ca.

Cette fois je ne répondis pas, je me contenta d'avaler difficilement ma salive.
Il alluma une cigarette, me regarda dans les yeux et me souffla la fumée dessus avec un petit rictus.

-Ont va commencer par quelque chose de simple, qu'est ce que tu sais ?

-De quoi tu parle ?

-Joue pas les ignorante ca prend pas avec moi.

-Pas grand chose.

-Faux ! Tu en sais plus qu'il n'y paraît. Pourquoi tu pense que je tuerais Alix ?

-Je sais pas, une intuition, t'as l'air tellement barge que ca m’entonnerais même pas.

Il se leva et écrasa sa clope sur mon avant bras avant de la rallumée. J'avais l'habitude de me bruler de temps en temps mais là, c’était différent. Le douleur me fit serrer les dents et je lâchais un petit gémissement qui le fit encore soupirer.

- Décidément vous les humains, vous êtes fragile et faible.

Je ne dit rien, je n'avais pas envie dune autre claque ou qu'il me fasse avaler son mégots.

-Si tu dis ca c'est parce que tu a eu vent de me transformation. Qui t'en a parler ?

-Personne.

-Non non non je suis sure que c'est Derek, a moins que ce ne soit Hailey, quoi que, je pense plutôt a Derek.

-Alors pourquoi tu demande si tu connais la réponse.

Parce qu'il existe ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant