Je m'appelle Cilian McMurray.
Je suis un de ces gosse riche parce qu'il est né dans la bonne famille...
Mon père a voulu déménager en Inde quand j'avais dix ans pour retrouver une de ses amantes.
Ça fait maintenant neuf ans que je vis là-bas, j'ai des demi-frères et sœurs et, puisque je suis le plus âgé, j'ai des tonnes de privilèges comme:
Des servants à volonté, tous ce que je veux et surtout beaucoup d'argent.Celui qui a inventé le dicton "l'argent ne fait pas le bonheur" devait sans aucun doute être pauvre à en bouffer ses godasses, car l'argent peut tout offrir!
Ça fait trop cliché de dire ça ?
Et bien qu'il en soit ainsi, parce que je pense bien ce que je dis.Sinon, j'adore vivre en Inde et j'adore par dessus tout me balader dans celle-ci ! Découvrir tout ses recoins, toute ses ruelles sombres et connaître tout ses plus noir secrets.
Aussi beau soit-il, un pays possède toujours sa part de noirceur:
La pauvreté, les conflits internationaux, la politique, etc...
En Inde, cette part de noirceur est assez visible et se sont mes balades nocturnes qui me le prouvent bien.
D'ailleurs, les quartiers que j'aime par dessus tout visiter sont ceux où la prostitution y est reine.
C'est assez valorisant de voir toute cette tristesse et ce désespoir sur le visage de ces gens, de voir dans quelle misère ils vivent et de se dire que tout cela est si loin de nous... Oui... C'est ça._____________________________
- votre massage du soir, Monsieur McMurray Cilian ? Dit une des nombreuses servantes qui pullulaient dans la grande bâtisse du riche McMurray.
- non merci, ce soir-là je me contenterai d'un bain chaud. Et appelle moi Jenny et Deborah, qu'elles viennent me tenir compagnie.
- bien Monsieur.
Elle se baisse pour faire une légère courbette et disparaît derrière la porte de l'immense chambre de son propriétaire.Le jeune homme, nu déjà, attend ses servantes.
Son corps bien en forme et ses muscles apparents le rendent très charmant, mais ce qui l'est plus et son visage.
Dure pour certains, séduisant pour d'autre mais surtout d'une beauté sans égal.
Avec sa barbe rasée de près et ses quelques mèches brunes qui lui caressent les sourcils, cela le rendent tout simplement... Parfait.Après avoir attendu l'arrivée des deux femmes, celles-ci lui on fait couler son bain et l'ont lavé comme on laverai un tout jeune enfant.
Entre elles, ces femmes le traitent de pervers, tyrannique et méprisant personnage, mais une fois face à lui, elles ne peuvent qu'obéir aux demandes de ce bel homme, âgé seulement de dix-neuf ans.
- Ce soir encore je compte me balader, interdisez donc mon père de venir dans ma chambre et trouvez un prétexte, comme quoi j'ai besoin de calme. Qu'il ne fasse entrer plus aucun servant.
Demanda Cilian sur un ton condescendant.
Les deux jeunes femmes acquiescèrent et se retirèrent, une fois leur propriétaire habillé pour sa sortie nocturne.____________________________
Il ne faisait pas froid cette nuit-là. Les rues étaient bruyantes, comme à leurs habitudes et les lumière des quelques magasins qui ouvraient tard le soir (ou plutôt qui ne fermés pas encore) guidaient les pas assurés de Cilian.
Celui-ci allait à sont endroit favori, si ce n'est pas trop malsain de dire ça car cet endroit n'était autre que "la ruelle aux chiennes", comme aimaient l'appeler les locaux, ou simplement là où les femmes (et certains hommes), tous aussi désespérés, vendaient leur corps pour les plus frustrés d'entre nous.Bien-sûr, Cilian n'y venait pas pour ses plaisir cachés, car il avait assez de ses douze servantes à la maison. Non, il était là pour voir. Se délecter du spectacle qu'offraient ces corps à moitié nus et crasseux. Tordus de souffrance et brisés pas la misère.
Il ne se considéré pas comme "fou" Ou encore "sadique". Non. Seulement curieux.
Du moins c'est ce qu'il disait quand on venait gentiment lui proposer des services au plus bas prix et qu'il se voyait contraint de refuser."Non... Merci, je suis seulement curieux. "
Et c'est tout.Mais c'est alors qu'il croisa le regard. Ce regard! Celui de la peur, de la souffrance, de la mort. Il n'avait jamais vu pareil allure au paravent.
Le corps déchu de cet adolescent était pourtant sale, mal vêtu et couvert de blessures, mais Cilian avait comme l'irrésistible envie de le prendre avec lui. De le serrer, le réchauffer et le baiser. Le caresser, le laver, le raser de près, de le contempler. Sous toutes les coutures! De droite à gauche. De haut en bas et de face et de dos.
Pourquoi ?
Pourquoi lui et pas elle?
Il ne sait pas.
"Je ne sais pas" Murmure t-il.
Il est droit. Planté devant ce jeune homme, sans bouger, sans broncher.
La foule de malheureux ne s'arrête pas pour autant, car le monde ne tourne pas autour de lui. Ni des autres d'ailleurs.
Il se fait bousculer, renverser, mais rien. Il ne bouge plus.
Mais ce n'est que maintenant qu'il remarque. Entre toutes cette masse de gens, entre toutes ces couleurs de peau, c'est celle-ci qu'y lui plaît le plus. La plus claire, la plus salissante, la plus sale.Alors le jeune homme n'attend pas une seconde de plus, se rapproche du garçon en face de lui et l'attrape par le poignet, le regarde droit dans les yeux et lui dit:
"Je te veux tout à moi...Le pauvre garçon ne comprend pas au départ, il lui donne alors ses tarifs mais ce n'est pas ce que veut Cilian, alors il lui fait comprendre que ce n'est pas ça, et décide de retourner chez lui.
Toute la nuit le jeune McMurray ne pouvait s'enlever de la tête l'image du visage crasseux de ce garçon qu'il avait croisé.
Il le voulait, ici, dans sa demeure, dans ses couloirs, dans sa chambre. Son jouet favori, son propre esclave.
Toute sorte de fantaisies absurdes étaient en train de virevolter dans son esprit, et Cilian s'endormit, le sourire aux lèvres.((Je ne terminerais jamais cette histoire, bonne nuit))
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Sweet Slavery
Fanfiction• ØneShøt • Cilian McMurray est un garçon de dix-neuf ans, très riche et vivant en Inde, dans une famille recomposée. Rien ne peut l'atteindre. Aucune émotion, aucun remord, jusqu'à ce qu'il tombe sur quelqu'un de particulié pendant une de ses escap...