Chapitre 1 : Les pulsions

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Chapitre 1 : Les Pulsions

Je suis Laetitia Dionisa, je viens d'avoir 19 ans. Ma vie est des plus banales pour une adolescente. J'étudie dans le lycée Blackhood dans la ville d'Antesera. Je suis en terminale scientifique. Mes parents se sont séparés quand j'avais 14 ans mais ma mère est morte d'un cancer, il y a 3 ans.

Depuis quelques années, Jack, mon père sort avec une femme nommé Pamela Eleneg. Cette femme fait la taille à mon père, ses cheveux bruns et bouclés forment une incroyable cascade brune. Mon paternel possède les cheveux aussi noirs que l'ébène et ses yeux métalliques dégagent quelque chose d'inaccessible mais on y voit une lueur estivales, remplis de chaleur et de réconfort. Malgré son allure, ses muscles sont autant développer que ceux des autres hommes, cela montre son agilité et sa force. Eleneg profite de mon père parce qu'il travaille dans la police.

Nous sommes le 4 mars, je viens d'arriver au lycée avec ma moto noire. Je rejoins Jess, ma meilleure amie. Elle est la seule à vraiment me supporter dans l'enceinte du lycée avec Max mon petit-ami. Jess est une jeune fille qui vient d'avoir la majorité, elle possède des cheveux noirs, courts et bouclés comme les poupées de porcelaines avec de grands yeux noisettes. Elle est très gentille mais un peu naïve.

Les cours passent normalement, je reviens de mon dernier cours puis je met mon sac dans mon casier. Quand un élève me plaque contre mon casier. Ces yeux sont jaunes vifs comme un animal sauvage dont la folie s'est emparé. Une étrange chose apparaît sous mes yeux, ce qui est censé être la main de l'élève mais une patte canine me couvre la bouche.

Je ne peux pas crier ni même me débattre car son autre main me tient l'épaule me maintenant contre le casier froid alors que son corps contre le mien me donne chaud. Je me laisse faire en fermant les yeux, peu à peu je perds conscience de ce qui se passe autours de moi puis de mon corps. Je me réveille la tête lourde, je retrouve ma chambre du regard. Rien n'a bougé, combien de jours ai-je dormi ?

Il fait déjà jour dehors, il doit être au environ de dix heures du matin. j'entends mon père dans la salle à manger, c'est tout nouveau pour moi de l'entendre alors que d'habitude je ne l'entends pas. Je sors enfin de mon lit pour me préparer pour ma sortie. Pendant ma préparation, je remarque que aucune marque ne borde ma nuque. Je sors de ma chambre pour déjeuner, je sens une odeur alléchante, une odeur forte me donnant l'eau à la bouche. Un mélange de sang et de fraîcheur... Je vais en direction de la salle à manger, je distingue les voix de mon père et de sa pétasse. Je m'approche d'eux et plus particulièrement de Jack pour attraper la tartine qu'il a dans la main. Je sors de la maison pour retrouver Max, mon petit-ami. Ses cheveux blonds aux reflets roux, toujours plaqués en arrières. Ses vêtements déchirés lui donne un air craquant. Il m'attend devant chez moi malgré le quartier riche où je vis. Je le rejoins assez rapidement.

- Ma chérie ! Me crie-t-il avec son sourire insolant

- Bébé ! Je réponds avec ce même sourire qui nous caractérise tout les deux.

Je lui saute dessus et l'embrasse langoureusement. Nos corps l'un contre l'autre se désirent plus que autre chose. Nous nous regardons un moment avant de monter dans sa voiture. Sur la route jusqu'au lycée, nous nous tenons la main.

Ma journée de lycéenne se passe normalement. Le soir, Max et moi allons en boite pour nous défouler. Quelqu'un me bouscule, je me retourne pour lui faire la remarque. Je reconnais le jeune homme qui m'a attaqué quelques jours auparavant. Mon envie de combat contre lui est plus forte que tout, je frémis de tout mon long. Je décide de lui prendre le bras et de l'emmener dehors dans une ruelle. Ses yeux brillent dans le noir, je vois comme en plein jour. Je vois enfin le visage de mon agresseur, il fait une tête de plus que moi, c'est à dire environ 1m80 un peu plus petit que mon père. Son bonnet cache des cheveux verts émeraudes, ses yeux sont un océan d'émotions redoutables. Un grognement casse le silence entre nous, ce grognement vient de lui. Tout en le fixant, je grogne à mon tour. Nous nous battons sans retenu, je le frappe avec force mais c'est alors qu'il rugit. Je me retrouve dans une embuscade pendant qu'il continu de rugir comme un animal sauvage. Les yeux de ces inconnus sont semblables à mon agresseur. Je remarque que cet individu possède une médaille avec écrit « Andy » sur celle-ci. « Andy » doit être son prénom, j'aime beaucoup ce prénom mais aussi cette apparence si singulière. Quand je relève les yeux vers eux, je remarque que leurs apparences est bestial c'est-à-dire des loups plus grands que des êtres-humains, de grandes canines dépassent de leurs museaux, de grands et impressionnant postérieurs soutient leurs corps musclés. Leurs membres antérieurs semblent être de puissants et incroyables bras humanoïdes mais quand même bestiales. Je prends conscience de mes actes mais je suis maîtriser par une balayette qui me fait heurter le sol par un des inconnus. Je rentre dans un folie furieuse alors que plusieurs d'entre eux me traînent jusqu'à un homme qui me met un collier avec une chaîne qu'il tient fermement. Cet homme me tire alors que nous marchons depuis des heures. Je vois plusieurs autres individus avec des fourrures différentes, les crocs aussi aiguisés que des rasoirs. Les hommes sont massifs mais les femmes le sont aussi quoi qu'elles sont plus agiles. Peu de personnes possèdent des yeux différents ou des tatouages qui se voient avec leurs fourrures.

Les Assoiffées de sangOù les histoires vivent. Découvrez maintenant