La voix venait de nul part et partout à la fois, James et moi regardions un peu partout sans trop savoir où. Puis un silence pesant nous tomba dessus. Je laissai James reprendre peu à peu ses esprit et allai me mettre sur le lit pour regarder encore une fois la pièce dans laquelle nous nous trouvions. Il n'y avait vraiment aucune sortie la seul sorti était la porte fermer à clé et la ventilation de la salle de bain qui devait faire 3 cm² et rien de plus. Même pas une minuscule fenêtre. Je ne pouvais même pas voir si nous étions la nuit ou la journée, il y avait bien un réveil mais vu la situation, ce tarée aurait très bien pu changer l'heure. Je fus couper par James qui me parlais.
James : Au faite, on se connait ?
Vraiment James, vraiment ? Cette simple phrase confirmai toute mon aversion pour ce mec.
Chloé : Pas vraiment mais on est dans plusieurs cours ensemble. Le cours d'orthographe et d'allemand. James : Ah oui ! C'est vrai maintenant que tu me le dit. C'est toi qui est toujours assise à coté de la fille bizarre au cheveux roux.
La fille bizarre au cheveux roux ?! C'est comme ça que lui et sa bande appellent Calie. Non mais je rêve c'est de pire en pire. J'aurai pu tomber sur un autres des 25 000 autres garçons qui peuple ma fac mais non, il a fallu que je tombe sur lui. Comme quoi le hasard ne fait pas toujours bien les choses.
Chloé : Hum, oui c'est moi.
Un silence pesant tomba sur nous deux. Nous n'avions rien à nous dire et c'était mieux comme ça. Nous sommes rester +- 10 minutes assis sur le lit sans se parler dans un silence gênant quand nous fûmes couper par le bruit de mon estomac qui criait famine. C'est vrai quand on y pense on ne sais même pas depuis combien de temps on est ici. Décider à en finir je me mis à crier comme une folle dans la chambre.
Chloé : Espèce de tarée en plus de nous séquestrer tu vas nous laissez crever de faim ?! Voix : Je préfère que tu m'appelles Maître ma princesse. Sinon je pense que ça va mal se passer entre nous. Chloé : Non mais vous êtes tarée ma parole, complètement fou ! Voix: Si tu continue ça va mal se passer je te le promets Chloé... Chloé: Je continuerai jusqu'à ce que vous nous libérez. Vous êtes vraiment taré..
La voix ne répondais plus, je commençais à légèrement paniquer. Pourquoi est -ce qu'il nous faisait ça ? Pourquoi à moi ? Pourquoi à nous ? Malgré le peu d'estime que j'ai pour James, je me sens aussi mal pour lui. Après tout aucun de nous n'avait demandé à être enfermer ici.
On entendis un bruit au niveau de la porte et comme pour me rassurer et pour ne pas me sentir seul, je m'approcha sans m'en rendre compte de James qui se colla lui aussi à moi. La poignée de la porte s'ouvrit lentement et on vit réapparaître le même homme que tout à l'heure . Il s'avança dangereusement vers moi. Et moi au lieu de me servir de mes cours de self-défense, nunuche comme je suis, je me mis à sangloter et à me coller encore plus contre le torse de James redoutant le pire.
J'avais peur, oui peur, moi qui en général passait plutôt pour une dure à cuire et qui détestait que les gens me prennent pour une faible à ce moment là je n'en avais plus rien à faire. L'homme continuais d'avancer vers nous et arriver à notre hauteur me saisi le poignet et essaya de me tirer des bras que James avait enrouler autour de moi pour me protéger. Malgré cela la force de James ne fis pas longtemps le poids contre la force de notre kidnappeur et il lâcha prise, ce qui me laissait à la merci de notre bourreau.
Homme : J'espère que tu vas comprendre la leçons petite sotte. Après tout une princesse comme toi ne devrait pas désobéir à son roi. James : Laissez -la. Je ferais tous ce que vous voulez mais ne lui faites pas de mal. Je veux bien prendre sa place. Homme : Ton heure pourrait bien sonner très vite aussi mon garçon alors fait attention à toi.
Et sur ce notre ravisseur me pris par l'oreille et me sorti de la chambre sous les cris de désinvolte de mon compagnon de cellule. L'homme me tirait tellement fort les oreilles que je cru à un moment qu'il me les avaient arracher. Au bout d'un moment notre ravisseur me lâcha et sur le coup de la douleur, je m'évanouis sur le sol dur et poussiéreux de la pièce.
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------