Stress

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Une larme coule le long de ma joue et tombe sur son visage.
Émilie : Zeldris...
Zeldris : Je ne veut pas te perdre... Pas encore...

Cusack revient avec un médecin.
Médecin : Qu'es ce que vous lui avez fait?
Zeldris : Fermez la et sauvez la!
L'homme se met à ma hauteur. Il l'examine.
Médecin : Il faut faire vite elle fait une hémorragie. Faut que je soulève son haut. Enlevez vos gants. Vous allez maintenir les compresses pendant que je fais le pensement.
Je lève mes mains il se dépêche de mettre des compresses. J'enlève mes gantelets et maintient le tout. Avec mon autre mains je la soulève un peu pour plus de faciliter.
Émilie : Zeldris...
Zeldris : Chut... Je suis là...
Je tremble. J'ai peur de la perdre.
Médecin : Faut l'emmener dans une chambre. Je dois continuer les soins mais pas là.
J'attache mes pièces d'armure à ma ceinture et porte Émilie en douceur. Je l'emmène jusqu'à ma chambre l'homme me suit. Je la pose ensuite sur le lit.
Zeldris : Refermez la porte je vous prie.
Il s'exécute et va ensuite a son chevet.
Médecin : Enlevez son haut et son bas.
Je me place à ses côtés. Je m'exécute avec la plus grande délicatesse. J'enlève délicatement son haut blanc. Je rougis un peu à la vue de sa généreuse poitrine. Ensuite j'enlève son pantalon noir. Je suis encore plus rouge. Elle est presque nue sur mon lit.
Émilie : Zeldris...
Zeldris : Ne t'inquiète pas je suis là.
Médecin : Mettez vous l'autre côté vous allez me gêner.
Je contourne l'homme et m'installe de nouveau à côté d'Émilie et lui tient la main.
Émilie : Zel...
Zeldris : Chut calme toi. Regarde je suis là.
Je lui carresse la joue.
Médecin : Attirez son attention sa risque d'être un peu douloureux.
Zeldris : Émilie regarde moi.
Je met mon visage juste au dessus du sien. Mes yeux sont de nouveaux vert.
Je tremble de plus en plus. Les larmes coulent toutes seules. Je n'arrive plus à les retenirent. Je colle nos front.
Zeldris : S'il te plait reste avec moi... Je ne supporterai pas encore une fois de te perdre...
Émilie : Zel... J'ai mal...
Zeldris : Je tient tellement à toi si tu savais.
Médecin : J'ai terminé. Il faut qu'elle boive ça. S'il vous plait?
Je m'écarte le laissant faire, j'essaye de me calmer.
Médecin : Tout va bien. Elle devrait dormir quelques jours. Elle doit récupérer. Elle est sauvé.
Il s'approche de moi. Je prend ma tête dans mes mains et continu de pleurer. Il pose sa main sur mon épaule. Je relève la tête. Il se met à ma hauteur.
Médecin : Ne vous en faites pas elle ne risque plus rien. Que lui est il arrivé?
Je sèche mes larmes.
Zeldris : Elle voulais que je l'entraine au maniement de l'épée. Elle s'en sortait très bien. Je me suis retenu pour pas la blesser. Je ne sais comment mais elle est tomber sur moi. Son arme c'est retrouver du côté gauche de mon ventre. J'ai pas réussi à me soigner. Elle s'en est voulut et ma soigner. Une fois ma blessure refermer, elle c'est écrouler au sol avec la même blessure que j'avais au par avant. J'ai essayer de stopper l'hémorragie.
Médecin : Vous avez très bien agi. Du transfert!
Zeldris : Quoi?!
Médecin : Je vous explique. Ça peut arriver qu'un druide qu'au combat les blessures qu'il inflige ne se referme pas même avec l'auto-guérison. Dans ce cas là, le seul moyen de soigner est qu'il transfert la blessure sur lui. Suivant la blessure cela peut être fatal.
Zeldris : Je comprend mais elle n'est pas druide...
Médecin : Pourtant j'aurai cru. Elle doit beaucoup tenir à vous. Tous le monde ne prendrai pas la peine. Surtout pour un démon.
Zeldris : Je sais...
Médecin : Vous devez aussi tenir a elle pour avoir agi de la sorte.
Zeldris : ...
Médecin : Vous devriez vous reposez.
Zeldris : Pour les soins?
Médecin : Faut lui changer ses pensements tous les jours, veiller que la plaie ne se réouvre pas ainsi que lui appliqué cette crème.
Zeldris : Combien de temps ?
Médecin : Une dizaine de jour.
Zeldris : Pouvez vous venir pour les soins?
Médecin : Bien sûr.
Zeldris : Pas un mot sur ce que vous avez vu.
Médecin : C'est promis.
Zeldris : De toutes façon si vous parler vous tomberai sous mon commandement.
Médecin : Vous êtes bien Zeldris de la piété ?
Zeldris : C'est exact.
Médecin : Qui aurait cru que l'un de l'élite serai comme ça!
Zeldris : Que voulez vous dire?
Médecin : Il est dit de vous que vous êtes l'exécuteur sans âme sans onse de pitié. Qui aurait cru que vous êtes tous simplement amoureux.
Zeldris : Qu'es ce que ca peut bien vous faire?
Médecin : C'est curieux.
Zeldris : Vous pouvez vous moquez, j'en ai que faire.
Médecin : Je ne le ferai pas car c'est surprenant. Les démons sont considéré comme des êtres connaissant que colère et haine. Alors que vous venez de me prouver que vous pouvez ressentir de l'amour.
Zeldris : Nous sommes élevé dans la haine et la colère. Nous apprenons à tuer rien de plus.
Médecin : Je reviendrai demain à la même heure. Reposez vous.
Zeldris : Je vous accompagne sinon cet imbécile va vous tuer.
Médecin : Rassurant.
Nous sortons de la pièce. Estarossa vient vers nous.
Estarossa : Toujours aussi fleur bleu mon frère ?
Zeldris : Ce n'est pas le moment.
Estarossa : Un médecin?! À oui j'ai entendu parler de ta petite protégé qui c'est faite blesser. Comme c'est malheureux.
Zeldris : Qui t'en as parler?
Estarossa : Ce brave Chandler c'est moquer ouvertement de Cusack et toi. Tu ressemble de plus en plus à notre grand frère. C'est si beau.
Zeldris : Je ressemble pas à ce traître!

Yo tous le monde. Cette fois c'est bien la suite haha. N'hésite pas à aller lire mes autres histoires à moins que sa soit déjà fait.
Notre pauvre démon est déboussolé. Que va t-il va faire?
A suivre...

Mon seul et unique amour.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant