Perdu

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Pdv Zeldris

Je suis sorti dehors. Je ne pouvais pas entendre le reste. Je savais que ma belle vampire allait me chercher. Je ne voulais pas être retrouver. Je me suis réfugié sur le toit à endroit ou on ne me voyais pas. J'ai mal au coeur. Je pleure en silence.
Les minutes passent et j'entends ma belle sortir.
Gelda : Zeldris où es tu?
Je la voit partir en compagnie d'Élisabeth. Mon frère me rejoint avec deux bières. Il m'en donne une.
Méliodas : Je savais que tu serais là. Gelda s'inquiète pour toi.
Zeldris : Je sais...
Méliodas : Je lui ai dit que t'avais besoin de temps, mais elle ne m'a pas écouté. Je comprends ce qui ta fait craquer chez elle.
Mes larmes continuent de coulaient. Il me prend dans ses bras.
Méliodas : Chut... Calme toi mon frère.
Zeldris : J'ai si mal.
Méliodas : Je sais. Tu n'es plus seul. Je te le promet que je serai là.
Je finit par me calmer au bout de quelques minutes. Je vois au loin les filles revenir. Nous nous séparons et finissons notre boissons tranquillement. Quelques instant plus tard nous redescendons avec mon frère. Il m'attrape le bras.
Méliodas : J'ai mis une nuisette pour Gelda dans votre chambre. Tu devrais attendre qu'elle se change à moins que...
Zeldris : Je t'arrête tout de suite. Je suis pas aussi pervers que toi. Je respect son intimité.
Méliodas : Me dit pas que tu n'y a jamais pensé ?
Je rougis fortement heureusement qu'il fait nuit. Il ne le voit pas.
Zeldris : Je ne repondrais pas.
Méliodas : Nishishi. Au fait tu ne ma pas dit ton secret pour la lever.
Zeldris : Oui c'est vrai. Je lui fait un suçon.
Méliodas : Je comprend mieux la tresse et surtout ça gêne. Pourquoi je n'y avait pas penser plus tôt. Tu es un génie mon frère.
Nous rentrons dans l'établissement.
Zeldris : Étonnant que tu n'y es pas penser.
Méliodas : Comment elle a réagit?
Zeldris : Mieux que le premier.
Méliodas : Je ne te penser pas comme ça. Comme c'est mignon un obsédé pareil. Combien tu lui en a fait?
Zeldris : Ça te regarde pas.
Méliodas : Aller dis le moi.
Zeldris : Tu es insupportable.
Méliodas : Aller Zel.
Zeldris : Ça va ta gagner. C'est le deuxième.
Méliodas : Le premier c'est pour les mêmes raisons?
Zeldris : Tu n'es qu'un gamin. Non et je ne repondrais pas à ta prochaine question.
Méliodas : Vous l'avez déjà fait?
Zeldris : Mais tu vas me laisser tranquille à la fin!
Méliodas : Je suppose que non.
Je rougit encore plus.
Hawk : De quoi vous parlez tous les deux ?
Méliodas : De comment cuisiné un cochon à la broche.
Hawk : Kia!!!
Il se réfugie derrière les jambes de la déesse.
Élizabeth : Vous allez mieux messire Zeldris?
Zeldris : Oui.
Méliodas : Viens je vais te prêté des vêtements.
Je le suis dans sa chambre.
Méliodas : Je suis sûr que tu en meurre d'envie.
Zeldris : Mais de quoi tu parles?
Méliodas : De lui peloter les seins et plus encore.
Zeldris : Espèce de pervers!
Méliodas : Doucement il y en a qui dorme.
Je rougit.
Zeldris : Comme si tu en avais pas envie.
Méliodas : Je ne me gêne pas pour peloter ses seins ou encore regarder sous sa jupe.
Zeldris : Pas étonnant de ta part.
Méliodas : Avoue que tu en as envie.
Zeldris : Fous moi la paix.
Méliodas : Sentir son corps contre le tient criant ton nom. Avec ces belle courbe, la voir nue, la caresser... Ose me dire que tu n'y pense pas.
Je rougit de plus belle. Il a gagné.
Zeldris : Ça suffit. Oui évidement que j'y pense.
Méliodas : Nishishi.
Zeldris : Ça te fais rire en plus?
Méliodas : Te mettre mal à l'aise me fera toujours rire. Tu autant as mon service. J'ai pas oublié ta moquerie.
Zeldris : Mouais.
Il me tend l'uniforme de la taverne ainsi qu'une deuxième chemise.
Zeldris : Merci. Bonne nuit.
Méliodas : Passe une bonne nuit mon frère.
J'ouvre la porte.
Méliodas : Peut-être qu'elle attend que tu te déshabille devant elle.
Zeldris : Ta finis?
Méliodas : Évite de faire trop de bruit.
Zeldris : Tu t'arrête jamais.
Méliodas : Ne fais pas des rêves trop...
Zeldris : Suffit!
Je suis si gêner. Je sors de la pièce et croise la princesse.
Élizabeth : Bonne nuit messire Zeldris.
Je la regarde. Elle se met a fortement rougir. Je l'ai mise mal à l'aise sans le vouloir.
Élizabeth : Quelque chose ne va pas?
Zeldris : J'ai une question. Es ce que Méliodas t'a déjà sauté dessus? Je veux dire, si vous avez fait plus que vous embrasser.
Elle est rouge tomate. Je l'ai mise plus mal à l'aise qu'elle ne l'étais déjà.
Élizabeth : Messire Méliodas m'a toujours peloter la poitrine ou regarder sous ma jupe. Peut-être dans une autre de mes vies mais dans celle-ci, je ne l'ai jamais embrassé.
Zeldris : Oh! Étonnant. Quoique pas tans que ça.
Élizabeth : Que voulez vous dire?
Zeldris : Il a un comportement assez pervers seulement avec toi mais en même temps il te respecte. Tu sais un démon a des pulsions plus développer que d'autres espèces. Elles sont des fois très difficile à gérer. Il doit sacrément t'aimer pour garder autant le contrôle sur lui même. Plus d'un aurait craquer et t'aurai sauté dessus sans aucun scrupule. Il n'aurait pas attendu autant de temps et s'en ficherais si tu est consentante ou pas. Dis toi que tu as beaucoup de chance. Il t'aime de tous son être. C'est rare pour un démon. En plus de ça, tu as réussi à calmer sa colère. Il est heureux grâce à toi. Merci Élizabeth.
Je la vois déboussolée. Mon frère ouvre la porte de sa chambre.
Zeldris : Passe une bonne nuit.
Méliodas : Déjà fini?! Ou alors tu te prépare.
Zeldris : Ni l'un ni l'autre.
Méliodas : Essaye de pas trop y penser. Fais de beau rêves mon frère.
Zeldris : Ursai!
Méliodas : Nishishi.
Et ça le fait rire en plus. Je commence à avancé vers la porte mais je ressent mes pulsions. Plus présente que d'habitude. J'ai l'impression que je ne les contrôles plus.
Méliodas : Un soucis!?
Zeldris : J'aimerais te poser une question très personnel.
Méliodas : Je t'écoute.
Zeldris : As tu déjà perdu le contrôle?
Méliodas : Si tu parles de ma colère, oui plus d'une fois.
Zeldris : Je le sais ça. Je te parle d'autre chose.
Méliodas : Tu peut être un peu plus clair.
Zeldris : Notre conversation.
Méliodas : Oh, ça! Ce n'est pas facile tous les jours. Dis moi depuis combien de temps as tu ses pulsions?
Zeldris : Je ne sais plus.
Il se rapproche de moi et mes sa main sur mon épaule.
Méliodas : Essaye de te chasser tes idées de ta tête.
Zeldris : J'ai de plus en plus de mal.
Méliodas : Tu lui en as parlé?
Zeldris : Évidemment. Elle n'est pas prête et je ne veut en aucun cas la forcer.
Méliodas : Je comprend mais ça va devenir vital pour toi. En plus de ça, plus vous attendez plus ça va être très douloureux pour elle.
Je pousse un long soupire.
Zeldris : Il y a des fois, je trouve sa pesant d'être un démon.
Méliodas : Détend toi, ça va aller. Tu es fort petit frère.
Il m'ébouriffe les cheveux. Heureusement, qu'il est là. J'entre dans ma nouvelle chambre. Je vois que Gelda dors déjà. J'essaye de faire le moins de bruit possible. Je finis de me changer et me glisse sous les draps. Je met ma main sur son ventre et lui chuchote.
Zeldris : Je suis désolé de t'avoir inquiété. Tous ça est tellement soudain que j'ai encore du mal à réalisé.
Je l'enlace et dépose un baiser sur son épaule. J'ai vraiment de la chance de l'avoir. J'essaye dans bien que mal de chasser les idées que ma donner mon frère. C'est dur de ne pas lui sauté dessus. Mes pulsions sont de plus en plus présentent. Je dois résister pour elle. Ça me gêne, je ne veut pas être insistant ou déplacer. Je préfère que sa soit elle qui me dise si je peut ou non. Ensuite je me laisse guider par mon instinct. Je me calle un peu mieux et fini par trouver le sommeil.

Yo tous le monde. Comment va? Avant dernier chapitre. Si j'ai mis contenu pour adulte, c'est principalement pour ce chapitre, même si il n'y a pas grand chose. Je préfère prendre aucun risque. Il n'y aura pas plus et pas de lemon dans le prochain. Je me suis amusé à l'écrire. Nous finirons avec le point de vue de la belle vampire.
A bientôt.

Mon seul et unique amour.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant