Forbidden Lover #immoralité (Bientôt Auto Publié )

Chapitre 2

Je suis garée dans l'allée de la maison de mon père et sa compagne. La maison est très jolie sur étage, grande, plus grande que celle que l'on avait avec ma mère. Des baies vitrées laissent la lumière dans la maison. Dans l'allée bordée de fleurs de toutes les couleurs, se trouve une voiture récente, celle de mon père certainement vu qu'il a pris sa journée pour m'accueillir, il y a aussi une moto devant le garage, je ne savais que mon père en faisait. Je décide de prendre mon courage à deux mains et sort de ma Mini. J'ouvre mon coffre pour récupérer ma valise et un sac à dos qui pèse un poids de vache.

Je suis devant la porte, respire un bon coup et toc trois coups. J'entends des voix, puis la porte s'ouvre et la c'est la catastrophe. Je recule pour regarder le numéro au-dessus d'encadrement, je suis bien au 213, merde c'est quoi le problème. Prise dans mes hésitations, je lâche mon sac à dos que je tenais dans ma main.

-Putain après ma moto que tu emboutis, tu m'écrases le pied avec ton sac.

-Euh... Je ne sais pas quoi, répondre, qu'est ce qu'il fou là, j'ai dû me planter quelque part.

-Mais attend, qu'est-ce que tu fiches ici ? Bah ça je me le demande. Tu me suis ? Il est sérieux là.

-J'ai dû me tromper... Je commence à lui répondre quand la voix de mon père résonne dans le font.

-Hash fiche la paix à ma fille.

Le prénommé Hash me regarde, on dirait que ses yeux vont sortir de leurs orbites.

-Tu es la fille de Steve ?

-Non, je suis le pape et toi tu es qui ? Mon père ne m'a jamais parlé de toi.

Il ricane, puis me répond.

-Je suis Hash, le fils de Brenda.

- Je t'aurais bien dit enchanté, mais cela serai mentir et je ne mens jamais.

Puis le pousse pour rentrer dans la maison, ma valise lui roule sur le pied, je l'entends grogner, mais ne dit rien. J'avance dans la maison à la déco très sobre, mais très chic. Les murs sont peint en blanc et gris, les meubles imitation chêne blanchi. Des cadres et des tableaux (qui doivent coûter une fortune) sont suspendus un peu partout dans la pièce. Quand j'entre un peu plus dans le salon, j'aperçois mon père qui reste immobile en me regardant de la tête aux pieds.

-Bonjour papa !

-Lily comme tu as grandi.

-En 8 ans, les gens changent.

Il ne relève pas ma petite pique pour me propose un truc à boire.

-Steve, je retourne au club, embrasse maman et Nina pour moi.

-tu pourrais rester un peu plus, Alix vient juste d'arriver. Lui réponds mon père.

-Je ne peux pas je dois voir le mécano pour qu'il répart ma moto, d'ailleurs Alix je t'attends toujours à 18h.Mon père ne comprenant pas nous regarde.

-En arrivant dans le centre, elle a embouti ma bécane.

- Alix ?

-Je n'ai pas fait exprès et puis il n'a rien ta mobilette ! Je l'entends s'étouffer puis j'ajoute. De toute façon je ne viendrai pas, j'ai autre chose à faire.

Il s'approche de moi, avec sa démarche dangereuse, je me sens telle une proie prise au piège par un prédateur. Il se penche pour arriver au niveau de mon oreille, son parfum arrive à mon nez, une odeur masculine de cuir et de menthe.

-Tu as plutôt intérêt à venir ?

-Et qu'est-ce que tu feras si je ne suis pas ton conseil ? Je l'entends un bruit étrange à mon oreille

-Tu n'aimerais pas savoir.

Puis il se redresse, part en direction de la porte et se retourne pour me regarder d'un air sévère, puis me fait signe qu'il m'a à l'œil. Avec le dernier grain de courage qu'il me reste, je lui fais un grand sourire ironique et lui fait un signe de main, je vois ses yeux devenir noir de colère, je sens qu'il aimerait me tordre le cou à cet instant précis. Et je l'achève en lui envoyant un faux baisers, je l'entends grogner, puis la porte claque et le bruit d'une moto se fait entendre. Je tremble de tous mes membres, je suis exténué, ce que s'est fatiguant de tenir tête à quelqu'un.

-Tu peux m'expliquer ce qu'il vient de ce passé ? Merde j'avais complètement oublié que mon père était là.

-Je n'ai pas tout compris moi-même. J'essaie d'esquiver les questions de mon père.

-Tu as du mordant maintenant, mais s'il te plaît, soit gentille avec ton demi-frère ! Cette fois-ci c'est moi qui m'étouffe avec mon café, demi-frère et puis quoi encore.

-Il n'est rien pour moi et encore moins mon "demi-frère". J'appuie sur ce dernier mot avec des guillemets fais avec mes doigts

-C'est le fils de ma femme, j'aime ce gamin comme mon propre fils, donc si c'est ton frère.

-Nina est ma demi-sœur OK, lui n'est rien. Maintenant peux-tu me montrer ma chambre, je suis fatiguée de cette route.

Mon père n'ajoute rien, mais je sens que cette conversation n'est pas terminée. Nous montons à l'étage, m'explique que la première porte à droite est leur chambre, à côté celle de ma sœur, que j'aurais pu deviner grâce au stickers accroché avec son prénom, puis me montre la porte en face de celle de Nina.

-Celle-ci c'est la tienne, je te laisse la découvrir, je vais chercher tes bagages.

Puis il me laisse devant la porte, en découvrant ma chambre je reste bouche bée, elle est super grande, j'ai un dressing rien que pour moi, puis, je vois une autre porte, je l'ouvre et arrive dans une grande salle de bain. Je n'entends pas mon père arriver derrière moi et je sursaute quand il me parle.

- C'est ta salle de bain, elle communique avec la chambre de Hash. AH le voilà le problème de cette chambre trop parfaite. Ne t'inquiète pas il est rarement là, il a une chambre à son club de moto, il préfère passer sa vie là-bas... Je te laisse te reposer. Puis il part de la chambre.

Je sors de la salle de bain, puis, je m'allonge dans mon lit et je m'endors en quelques secondes.

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