Unité fantôme

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Il y a de là très longtemps qu'était alors raconté la légende d'une unité très soudée, celle-ci parlait d'une unité de l'armée, de trente-trois personnes au total qui avaient été engagés dans l' "Unité fantôme".

Auparavant, le commandant de l'unité avait fait partit de nombreuses équipes dans lesquelles on ne pouvait plus compter les morts, pour cause de trop grands effectifs. Le commandant avait vu d'innombrables cadavres de ses camarades et, dit-on, en a été psychologiquement traumatisé jusqu'à se qu'il ne demande à ce que seulement trente-deux personnes en plus de lui, puissent faire partit de l'unité, que personne ne puisse changer d'équipe et qu'il n'y ai aucun remplacements. L'unité fantôme était une unité qui travaillait seulement dans une zone et avait donc une grande chambre pour tous. Chacun avait son lit et sa boite à effets personnels avec son nom gravé dessus. À chaque départ, le lit était défait et il ne restait alors que le matelas et les effets personnels qui étaient rangées dans la boite de la personne.

De mois en mois, d'année en année, les effectifs de l'unité diminuaient et personne n'avait songé à quitter l'armée, non, tous mourraient de maladie ou au combat jusqu'à ce qu'il ne reste plus que le commandant lui-même.

Selon la légende, l'homme aurait été plongé dans un si profond chagrin qu'il ne quittait plus la chambre, ne laissant personne y entrer non plus, et se lamentait sans cesse sur son lit jusqu'à se qu'il ne décède dans d'atroces hurlements et souffrances. Mais cela ne se finissait pas totalement ainsi car, après sa mort, alors qu'on se décidait de quoi faire la pièce, une personne y entra pour extraire le corps mais celle-ci hurla d'un cri si terrifiant que personne n'osa y entrer et la personne dû en ressortir d'elle-même. On raconte donc que, suite aux paroles de la personne et aux raisonnements de scientifiques, atteint d'une terrifiante folie, l'homme avait gravé sur les murs de pierres les noms et les effets personnels de chaque camarade mort qu'il avait rencontré jusque là. De plus, l'unique personne qui y avait alors pénétré, était entrée dans une forte folie ravageuse dans laquelle il criait que l'air était celui du royaume des morts et que le commandant avait tenté de rappeler les esprits de tous ses camarades décédés pour qu'il puisse s'excuser de ne pas les avoir sauvé.

La pièce a donc été fermé à tous avec les secrets des déroulements exacts de chacune des batailles dans lesquelles l'homme avait combattu.

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