Chapitre 2

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Brian.

— Ou ça ? grimace Cooper ?

— Rivers, c'est une petite île sympathique.

— Et qu'est-ce qu'on va foutre sur un île pendant deux mois ? continue Cooper.

Chris soupire et passe une main dans ses cheveux avant de se tourné vers Garette, le batteur du groupe et surtout celui qui est le plus raisonnable de nous tous. Mais pour une fois Garette ne dis rien, pas étonnant il avait prévu de passer l'été avec Clem sa copine. Personne n'a l'air emballer de partir sur une ile au milieu de nulle part. Travis, ne dit pas un mot comme dab, il geek sur son portable.

— Les mecs, commence Chris en s'appuyant contre le fauteuil de Cooper. Votre carrière commence à s'essoufflé, vous faire connaître dans un nouvelle endroit serrais bénéfique pour vous.

— Et pourquoi pas Paris alors ? la bas au moins, il y a des putes !

J'envoie un coussin au visage de Cooper ce mec pense qu'a sa bite. Il ricane en l'attrapant au vol et le fourre sou son cul.

— Je peux te dire qu'il y a de très jolie fille sur l'ile, fait chris.

Coopper hoche la tête pas convaincu.

— J'avais prévue de passé l'été avec Clem, geint Garette.

— Elle peut venir ! réplique notre agent. Et Sam aussi peux venir.

— Hein ? Euh... ouais sa pourrais être cool, fait Travis en relevant la tête de son iphone.

— Ok si Clem viens c'est bon pour moi.

— Yes ! s'exclame Chris avant de se tourné vers moi. Et toi Brian ?

Ses yeux son concentré sur moi, je c'est qu'il essais de deviné à quoi je pense. Je suis la tête d'affiche du groupe si je ne viens pas, personne n'y va. Je hausse les épaules.

— Si ma moto et ma voiture me suivent, alors c'est d'accord pour moi aussi.

— Putain les mecs vous ne voulez pas plutôt aller à Paris ? s'indigne Cooper.

***

Ce soir c'est notre dernier concert à L.A, j'ai apprécié chaque instant passé ici, mais partir découvrir un nouvelle endroit me ferra peut être du bien. Je gratte ma guitare une feuille blanche posé devant moi, je la fixe depuis des jours, mais rien ne viens pas même une putain de phrase ! C'est de sa faute, il me fou hors de moi et je n'arrive même plus à me concentrer sur la musique. Composé des chansons m'a toujours aider à surmonté les épreuves de la vie, mais cette fois c'est différent. Il est mort. Je l'ai toujours détesté au plus profond de moi-même, mais je ne pensais pas être aussi perturbé par sa disparition. Cet homme n'est pour moi que l'objet de mes cauchemars et de mes insomnies et pourtant aujourd'hui, je suis la allonger sur mon lit à me dire que les choses auraient pu être différentes. Et si j'avais accepté de le revoir l'an dernier quand il était mourant, peut-être que j'aurais pu lui pardonné. Cette idée me fais presque rire, comme si c'était possible de lui pardonné dix ans d'existence gâcher. Comme si je pouvais lui pardonné de l'avoir tuer. Non, jamais je n'aurais pu. Il m'a privé de ma mère, il m'a pris mon innocence et ma jeunesse. A cause de lui, je me suis retrouver à la rue a dix-huit ans, par sa faute, je c'est ce que ça fais de dormir sous un pont dans un froid glacial. J'ai toujours espéré qu'il s'excuse, mais il ne l'a jamais fait. Je ferme les yeux quand la culpabilité me gagne. C'est moi qui est poussé ma mère dans ses bras, si j'avais su... je pousse une grand soupire et me redresse pour essayer de faire disparaitre toutes ses voix dans ma tête.

— Brian, on commence dans trente minutes viens te préparé ! hurle Travis.

— J'arrive !

— Grouille-toi, il y a du beau petit cul ce soir ! s'impatiente Cooper.

Je souris en sautant de mon lit, au moins je vais réussir à oublier mes problèmes le temps d'une soirée.

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