Chapitre 4

355 48 0
                                    


Brian.

Le réveille est brutal comme chaque lendemain de concert, une fille dont je ne connais pas le prénom est nue à côté de moi. Je tire sur les draps pour recouvrir son corps, pas parce que j'en est quelque chose à foutre qu'elle est froid, simplement parce que je ne supporte pas de la regardé. Ma mère aurait détesté que je me serve des femmes pour me soulager, et chaque lendemain je culpabilise. Je vie ainsi depuis des années, maintenant. Je donne un concert, je me défonce à la vodka et je fini au lit avec la première venu. Je suis un putain de connard, bien souvent je n'ai pas à faire grand-chose pour obtenir ce que je veux. Cette fille par exemple m'a lancé son string sur scène. Donc ok, je me suis servi d'elle, mais c'est quand même une salope. Je ne me rappel pas grand-chose de la soirée d'hier, je me souviens avoir bu un verre avec les gars et que cette fille s'est ramené, mais rien de plus. La fille commence à gigoté et ses lèvres remue dans son sommeil. Des souvenirs de la veille me reviennent en mémoire...

Nos corps son éclairé par la simple lueur de la lune, Tania ou Tatiana, je c'est plus, commence à enlever son t-shirt avec un regard enflammé.

Tu c'est tout le long de la soirée tu m'a donné super chaud, susurre-t-elle d'une voix fiévreuse.

Ah ouais ?

Ma voix est plus rauque que je le voudrais tandis que je me débarrasse de mes vêtements. J'attrape l'élastique de mon boxer, mais Tania ou peu importe son nom, pose ses mains sur les miennes.

Laisse-moi faire.

Je retire mes mains et les croises derrière ma tête pendant qu'elle se met à genoux devant moi. Rapidement mon boxer se retrouve à mes pieds et je sens sa main s'enroulé autour de moi. Ma queue palpite contre ses lèvres quand elle les approches de mon gland. Elle souffle doucement dessus, puis fait doucement glisser sa langue le long de ma verge. Je rejette la tête en arrière en poussant un soupir de satisfaction. Voilà ce dont j'avais besoin, une bonne pipe. Sa main va et viens en rythme pendant qu'elle me suce avec gourmandise, elle ne va pas assez vite à mon gout. Je pose alors, mes mains sur l'arrière de sa tête et commence à lui donner des coups de hanche pour lui imposer un rythme plus rapide. Elle gémit quand je saisis ses cheveux et que je m'enfonce d'avantage dans sa bouche.

T'aime sa hein ?

Elle gémit de nouveau quand je sens un frisons me parcourir le bas de dos. Merde, non pas déjà. Je tire sur ses cheveux pour le remettre debout rapidement. Elle me regarde surprise, mais je ne lui laisse pas le temps de dire quoi que ce soit et je la retourne pour me mettre derrière elle. Je relève sa jupe sur ses hanches et sans attendre je m'enfonce en elle.

La sonnerie de mon portable me fait revenir au présent, je tends le bras pour l'attrapé. C'est Chris. La toute suite j'ai pas envie de lui répondre alors je renvoie l'appel. J'ai une gaule monstre, on dirait bien que je vais avoir besoin des services de cette demoiselle une fois de plus. A moins que je la vire et que j'aille me branler. Parce que comme dirais Cooper « les coups d'un soir doivent rester les coups d'un soir ». Je n'ai pas envie de lui donner de faux espoir. Ma décision est prise, je vais dans la douche ! Une fois sous l'eau, je commence à me caressé doucement, mais très vite les mouvements deviennes plus rapide. Je commence à perdre l'équilibre, mes jambes commence à se dérobé, je fini le dos contre le carreau de douche quand le sperme jaillis. Je pousse un long soupire de satisfaction. Je c'est que j'ai l'air d'un putain de mec accro au cul et c'est un peu vrais. Mais je crois que c'est l'une des rares choses qui me maintienne en vie. 

The InspiredOù les histoires vivent. Découvrez maintenant