Le secret du saiyan auburn

Chapitre 6 : Une décision qui n'a pas de logique.

La seule chose qu'Uzuki pouvait entendre était un bruit sourd qui résonnait dans sa tête. Son cœur battait si fort que la femme saiyan ne pouvait même pas penser. Elle sentit tout son corps s'effondrer, alors que son monde faisait la même chose. Elle était piégée. Toutes ces années, la femme saiyan s'est battu et a obéi avec le minuscule, presque inexistant espoir, qu'un jour elle soit avec son prince. Bien sûr, la motivation principale d'Uzuki dans chacun de ses choix et de ses actions était de maintenir Végéta en vie. Pourtant, à présent, cela lui coûterait peut-être son amour sans doute, ce dont elle a toujours rêvé. Si elle devait s'accoupler avec Raditz, le saiyan aux cheveux roux ne s'accouplerait jamais avec Végéta.

Mais si Uzuki a refusé la soi-disant proposition (que Raditz dirait sûrement à tout le monde, puis le Seigneur Freezer mettrait fin aux jours de Végéta. Le risque était trop élevé dans les deux cas, et sa tête ressemblait à une bombe à retardement, elle attendait simplement que ça explose.

Raditz se rapprocha d'Uzuki, avec un sourire narquois sur le visage, comme s'il était très fier. Il pensait qu'il avait toutes les raisons du monde pour avoir une aussi grande cervelle, Raditz était sur le point de s'accoupler avec la seule femme saiyan en vie dans tout l'univers. Même Végéta ne serait pas capable de dire une chose pareille. Le prince pensait qu'il était meilleur que tout le monde, eh bien il ne l'était pas. Raditz savait qu'il avait conclu un accord selon lequel, si elle devait s'accoupler avec lui, il ne le dirait pas à Végéta, mais c'était un mensonge, une opportunité comme celle-là était trop belle pour ne pas la lui frotter au visage.

Franchement, il se moquait bien de ce qu'il adviendrait de cet imbécile prétendu prince. Il avait remarqué que la femme saiyan respirait difficilement et qu'elle était plutôt nerveuse. Il adore ça. Raditz s'est approché d'elle, et comme elle ne cessait de lui envoyer un regard froid, il a mis ses mains sur ses hanches.

Il se pencha et murmura à son oreille. Elle était une femme, probablement une troisième classe, n'était-elle pas supposée être déjà attirée par lui? "Qu'elle est ta réponse jolie dame?"

Uzuki déglutit et regarde Raditz droit dans les yeux. Pour le moment, elle avait pris sa décision et elle savait que dans son cœur, il n'y avait pas d'autre choix. Ça devait être fait. La femme saiyan soupira lourdement alors qu'elle posait ses mains sur celles de Raditz.

"Je vais m'accoupler avec toi." Dit-elle d'une voix très douce, presque un murmure.

Le saiyan de classe inférieure ne put s'empêcher de sourire en entendant ces mots, ça allait être bien. De plus, il serait probablement capable de la garder pendant un moment, après tout, seul Végéta était celui qui était menacé d'être tué s'il le découvrait. Même si Freezer n'avait pas fait très attention à la sécurité lorsqu'il avait eu sa petite discussion, même Végéta aurait pu le découvrir. Peut-être que Freezer avait voulu que Raditz soit au courant? Ou peut-être même Végéta.

"Très sage décision." Raditz rapprochait le corps d'Uzuki de lui, pressant sa poitrine contre la sienne et en lui tenant ses jambes autour de la taille. À la seconde où il l'a touchée, Uzuki s'est sentie malade et s'est sentie violée.

Le saiyan aux cheveux roux repoussa immédiatement Raditz, le faisant tomber au sol. Raditz la regarda très confus et perplexe, n'a-t-elle pas accepté leur contrat il y a cinq secondes? Uzuki lui adressa un sourire d'excuse avant de se relever.

"Allons ailleurs." Uzuki prit la main de Raditz et commença à le conduire à l'extérieur de la chambre de Végéta. "Nous devrions aller dans votre chambre." Végéta ne devait pas être en mesure de les voir ici, ils devaient allez à quelque part d'autre.

Raditz haussa simplement les épaules. Il ne s'en souciait pas vraiment. En fait, il ne voulait pas s'accoupler dans les draps, où que Végéta dormait, alors peut-être que sa propre chambre était un meilleur choix et que personne ne pouvait les déranger de cette façon.