Chapitre 2 ; Comment ?

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Jev Hills se retrouve dans le lotissement derrière l'école de la fillette, entouré par une brume épaisse. Il se dirigea vers une porte de bois claire. C'est la deuxième porte qu'il fait. La précédente était celle d'un vieil homme qui lui avait gentiment indiquer cette maison, affirmant que la dame vivant ici avait un chat. Il frappe. C'est un vielle femme qui lui ouvre, l'air gentille, des cheveux grisonnants rassemblés en chignon d'où s'échappe quelques mèches, vêtue d'une robe à motif fleuri.

" Bonjour, que puis-je faire pour vous ?

- Bonjour, je cherche la propriétaire d'un chat du nom d'Akira. Je suis inspecteur.

- Oh ! Oui, c'est moi, vous l'avez retrouvée ?

- Non, et je suis porteur d'une mauvaise nouvelle, votre chatte est morte.

- Je m'en doutais. Les chats s'isole pour mourir après tout.

- Elle n'est pas morte de vieillesse, elle a voulu protéger une enfant mais s'est pris un coup qui l'a tuée. La fillette qu'elle a tentée de protégée est morte. Je voudrai en apprendre le plus possible sur la fillette et comme il semble qu'elle appréciais votre chat...

- Je comprend. Entrer, je vous en prie. Il fait un temps de chien aujourd'hui !"

L'inspecteur entra et ce laissa guider jusqu'au salon. Les deux adultes s'assirent l'un en face de l'autre, se faisant face.

" Akira était craintive, elle ne laissait pas tout le monde l'approchée, je suis étonnée qu'elle est accepter de voir cette petite fille.

- Vous le saviez, qu'elles se voyaient ?

- Oui, au départ je m'en suis douter, Akira sortait lorsque la cloche sonnait et rentrait lorsqu'elle sonnait pour le seconde fois. J'ai commencer à me posé des question et je suis allé voir, c'est la que je l'ai vue."

La vieille femme continua de bavasser jusqu'à l'arrivée d'une jeune femme, probablement sa fille.

" Bonjour, vous êtes ?

- Je suis l'inspecteur Norel, j'allais partir. Au revoir Mme...

- Madame Ventain. répondit la vieille femme. Au revoir.

- Qu'est-ce qui vous amène ici ? Monsieur l'Inspecteur ?

- Une enquête."

Il n'attendit pas la réponse de la belle inconnu à la longue chevelure brune et quitta la maison après avoir saluer la vieille femme. Jev Norel se retrouva une fois de plus dans la brune qui persistait et qui semblait presque curieuse à son égard, cette sensation le fit frissonner. Il monta rapidement dans sa voiture afin de retourner à son lieu de travail. Un fois de retour dans son bureau, il reprend sa feuille et son crayon qu'il a abandonné quelques heures au par avant. Après plusieurs heures de travail, il se dirige vers le réfectoire. Son repas fini, il retourna se réfugiez dans son bureau.

Jour 2

C'est la deuxième fois que j'écris sur ce journal. Ce journal, il va me servir à poser les idées que j'ai pour mon suicide. Il faut que je détermine comment, je vais me suicidée. J'ai eu plusieurs idées que je vais vous détailler, Monsieur L'Inspecteur, en pesant le pour et le contre.

La première, le poison, c'est une méthode très noble, qui peut me permettre de me positionné comme je veux pour mourir. Mais, l'inconvénient est que je risque de ne pas être lucide et de souffrir énormément pendant les dernières seconde de ma vie. Or, j'aimerai que celles-ci soit paisible, calme et libératrice.

La seconde, le couteau, c'est une méthode très impressionnante, voir le sang qui coule d'un corps endormis à jamais doit être très marquant pour un homme. Vous en souviendrez vous, Monsieur L'Inspecteur ? Si je mis prend bien, je ne devrai pas souffrir trop longtemps. Seulement, comment me vêtir de mes plus beau apparat si la moitié de mon être souhaite se rependre sur la table ?

La troisième, la pendaison, une méthode classique, répandu - sans mauvais jeu de mots - mais qui fais toujours son petit effet, toujours impressionnant. Le seul défaut est la solidité de la corde, il faut qu'elle puisse supporté mon poids. Il faut aussi trouver une poutre suffisamment solide pour mettre la corde en place.

La quatrième, la noyade, une méthode très anonyme, remplie de mystère. Un avis de recherche est lancé. L'enquête ne mène à rien. On oublie. Puis, quelques mois plus tard, un corps est trouvé, et les analyses prouvent qu'il s'agit de la personne disparu il y a quelques mois. Seulement, il faut que quelqu'un se rende compte que j'ai disparu pour cela.

La cinquième, l'overdose, une méthode particulière et pas toujours faite avec consentement. Une mort que les gens ne respect pas, une mort qu'il condamne, comme si mourir d'une overdose était moins grave, moins importante. Mais, je trouve que s'est une belle mort, mourir en faisant ce qu'on aime. Seulement, je ne sais pas comment m'en procurer, si je décide de choisir cette mort, je me renseignerai.

La sixième, le saut du toit d'un immeuble, une mort très clichée et très sale, je ne compte pas prendre cette option, mourir écrasé contre un trottoir, je n'aime pas l'idée. Pourtant, passer les dernières seconde de sa vie à avoir la sensation de voler cela doit être beau. Le faire du haut d'une falaise et se noyer dans la mer après pourrais être mieux. Mais, ici, même se il y a la mer, il n'y a pas de falaise.

Il me reste plus qu'a faire mon choix.


Jev Norel ferme le journal pour la deuxième fois de la journée. Il regarde l'heure, il est plus tard qu'il ne l'aurai cru. Il range son bureau et mes le journal sous clé. Il lira la suite du journal demain.

Journal d'une enfant suicidéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant