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Je la regardais toujours autant, wallah je croisces yeux ils m'avaient fait héja. 



La meuf : Belek il y à mon père à la fenêtre.

Moi : Tranquil tu va dans quel bâtiment ? 


Elle me fait montrer le bâtiment où ma mère est depuis ta l'heure, donc je l'aide tous sa, arrivais à l'étage je la vois s'arrêter devant la porte de la shab à ma mère. 


Moi : T'abite là ? 

La meuf : Eh oui. Pourquoi ? 

Moi : J'attend ma mère qu'est ici. Au fête c'est quoi ton prènom ? 

La meuf : T'est le fils à khelti Fatiha ( Ma mère) ? Dounia

Moi : Wé wé c'est oim sisi le prènom moi c'est Amir



Elle me rèpond d'un simple sourire, et rentre. Elle appel sa mère pour lui dire que je suis là et s'enpresse de venir me chercher à l'entrée. Vous connaîsez, bon ensuite ma mère à fini par déccrocher on a pu rentrer.



Yemma  : Elle est belle hein ? 

Moi : Chkoune ? 

Yemma  : Fait pas bléhani avec moi ta pas regarder Dounia la fille à Samir

Moi : Beh elle est normal wesh

Yemma  : Wesh wesh toujours ce mot dans sa bouche. 



Je l'aimes ma mama, je ferais tous pour elle j'ai gâché ma vie par la même occasion j'ai gâché ma présence à ces côtés car en sah j'y été jamais, je préféré ma bicrave, mon alcool, mes soirées, les meufs. J'ai pas êté un 
exemple. Quand je voyais les petits de mon quartier commencer a l'âge de 15 ans traîner avec Mehdi, Aziz, Bakary les grands du cartier quoi, les bo2s de la bicrave, le centre des affaires, je me disais qu'ils finiront sûrement pire que moi vu a l'âge qu'ils commencent. Quand je me posé en haut de ma tour seul, wéwé moi Amir E* A***** des fois sa m'arrivais de me poser seul enhaut de ma tour, je pensais j'étais bien la car je pensais plus à rien, ni la galère queje fesais vivre aux rents-pa , je regardais la cité et je me disais " Amir la vie ne t'a pas gâté, t'est née dans la bicrave et tu finiras marié à elle" Combien de fois mon reuf il est venu me voir en me disant que fallais que j'arrête, ma mère, même ma petite soeur mais moi je me disais je peux pas arrêter j'arrive pas et puis a quoi sa sert d'arrêter ? J'ai pas la foi de chercher un travail, de me poser, même les meufs à mes yeux c'étais un passe-temps , wé je m'amusais avec elle y'avais pas de je les sors manger un restaurant, oula on se promène je fais ce que j'avais à faire avec elle et puis selem. Je suis qu'un homme un homme avec des faiblesse, oui Amir avais des faiblesse, des peurs et des craintes...


J'ai déposé la mama, puis je suis rester avec les potes en bas comme d'abitude on été samedi soir le week kend donc on a décidé de bougaient à la chicha. Ont montent tous se mettre en mode beaux gosses tous sa. Vers 23
heures ont bougent tous. La soirée c'est passé tranquilement. 



2 Semaines après :


Je me lève par les cris de ma mère ho quel si belle voix, wéwé c'est tozzzz, elle criait je sais même pas pourquoi j'arrivais donc plus a me ré-endormir donc je me lève je vais déjeuner, me laver et tous. Je prend mon fone-tél 
sa fesais depuis l'histoire avec l'autre blondasse que je les pas allumer vue qu'elle m'harceler. J'allume je vois vla les messages des potos. Certains de petite meufs qui soont en manques mohem je tombe sur un numéro que 
j'ai jamais enregistrer : 


Message ** +33647895247 :








AIMEZ LA FAMILLES QD VS AVEZ LU 



MERCI POUR CELLES QUI ME SUIVENT CONTINUEZ DE FAIRE TOURNER LA MIIFF

Bismi'Allah 

Chronique d'Amir : Élever a la dur, La3dess et coup de CeintureOù les histoires vivent. Découvrez maintenant