Chantier d'écriture 3 : Bright Mirror

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La contrainte consiste à écrire une description d'une utopie commençant par :

15 janvier 2050, j'étais assise chez moi en train de lire...

Quand j'ai vu un sale gosse jouer au ballon avec ses voisin. C'était mieux avant, quand les gamins se contentaient de jouer aux jeux vidéo et de chatter avec des gens qu'ils ne connaissaient pas, ça faisait des rencontres parfois vraiment bien et parfois nulle. C'était le bon temps. De toute façon, depuis que le monde est passé d'une hiérarchie organisée et cohérente grace à la sélection économique à un monde où tout le monde est égaux et où les gens sont devenus assez lucides pour arrêter d'enfreindre les lois et les règles : J'ai perdu foie en le monde.
C'était mille fois mieux à mon époque, d'autant plus que maintenant, chaque abattoir est muni d'anesthésiant hyper puissant pour que les rares animaux encore tués ne souffrent pas. Moi j'en mange toujours. Pourquoi changer ? Pour ne pas tuer les gentils nanimaux ? Laisse moi rire !

Pff... Moi j'appelle ça la pandémie universelle de la gentillesse. Une maladie incurable, transmis par les actes gentils, qui dépece les gens de leurs libre arbitre et de leurs envies malveillantes.

Maintant quand j'allume la télé (écologique, hein ? Sinon ce ne serait pas drole...), les médias arrête de parler de peur et de choses négatives mais de bonnes choses nous empêchant de voir à quel points on était supérieur à certaines personnes influentes. 'Fin remarque: maintenant j'ai cette impression dès que j'ouvre les yeux...
Où sont mes médocs ?

Ce chantier d'écriture était le premier dans lequel j'etais vraiment fier de moi. L'idée de décrire une perfection à travers une harpie détestable au possible me semblait être la meilleure façon de faire un décalage, et donc garder l'attention des autres.

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