La contrainte consiste à écrire un texte parlant d'un paysage, quel qu'il soit.
Dans un premier temps;
Je te parlerai des bâtiments;
Par la suite;
Je te parlerai de nos hôtels, de nos suites;
Tout est mieux dans la ville.
D'ici tu peux tout voir;
Des grandes avenues aux ruelles noires;
Deviens ce que tu veux;
Cuisinier, policiers, pompiers ou cracheurs de feu;
Il n'y a rien de tout ça dans ta campagne futile !
Laisse moi te couper et te prouver;
Ma vieille amie;
Que de tout ce que tu m'as démontré;
Rien n'est pertinent dans ce que tu me dis;
La ville est aussi fragile qu'un tas de fils.
Les criminels se terrent tous ici;
Le jour où tu te fera tabasser;
Ils agiront dans la nuit;
Tu te sentira abandonnée;
Abandonnée comme seule sur une île.
En classe, pendant que je l'écrivais, c'était normal. Tout s'enchaînaient au bon vouloir de mon stylo. L'idée que le texte commençait avec un dialogue déjà bien entamé aurait pu perturbé tout ceux devant qui j'ai lu mon texte mais, finalement, les gens ont facilement pu imaginer comment une conversation pouvait finir comme ça. Le seul hic, c'est que le dialogue rimait de façon si particulière que les deux ne donnent pas l'air de discuter mais juste de rimer sur ce que l'autre dit, mais ce n'est pas dramatique, ça va.
VOUS LISEZ
Ateliers d'écriture 3B
RandomLes différentes rédactions avec contraintes que j'ai fait en 3GTB (année 2018-2019) en cours de français.
