[Karma Akabane (Semi-Senioritis) x Elizabetha Fujioka (Mystère)]
Comment se sont-ils rencontrés? L'histoire vaux le coup d'être lu pour en avoir la réponse à cette question.
On ne va pas prendre le risque de vous ennuyez avec la routine du matin de crise d'une criminelle. Combat d'énervement; Réveil vs Mystère, douche, sacres après le réveil (car elle est rancunière) pendant le petit déjeuner, puis pour finir sa course pour s'habiller et se diriger vers le Lycée, en essayant de ne pas être en retard. Plus sérieusement, on vis tous cela, donc penser à votre propre intro. ------------------------------------
En cours, un certain roux jouait avec un stylo a bille par énervement et l'air pensif. Il ne savait pas quoi penser de l'évènement de Samedi.
- « Dans ce monde, nous sommes tous des chiens, et j'ai accepté d'être le plus sauvage de tous.»
Ses mots qui repassait dans son esprit le rendait fou. Karma n'était pas quelqu'un d'effrayer par la violence. Il a tenter de tuer un prof et il est le roi de la baston. Alors pourquoi en voyant un visage si innocent, commettre un acte aussi irréparable, l'a paralysé sur place sans dire un mot? Il ne le savait même pas lui-même. Il ne passa pas beaucoup ds secondes que le jeune homme s'ébourrifais les cheveux, mêlé dans ses propres pensées. Rio, Nagisa et Kayano le regardait, surpris de son comportement si peu habituellement. Définitivement; Il s'était produit quelque chose, Akabane était comme du verre, impossible de remarquer les détails, mais assez lisible sur les grandes lignes.
C'est à ce moment que la jeune femme aux yeux vairons, entra dans la classe. En même temps qu'elle murmurait; "Ohayô", et que ses camarades de classe lui répondait, Karma ne pu poser son regard ailleurs que sur elle. On aurait dit un duel de coq, mais aucun des deux ne pouvait nier sans avouer le meurtre d'avant-hier. Ils continuèrent de se regarder, sans oser dire un mot, par peur que les voyelles & les consonnes ne fassent que compliquer les choses. Le malaise montant à chaque secondes, et les quelques autres camarades discutaient afin d'éviter que ce soit complètement silencieux. Heureusement pour tous, la cloche sonna et Élizabetha alla à sa place, suivi de tous ceux qui étaient debout. La Bitch-sensai entra, et commença son cours (NDA: séduction ou anglais? Ce n'est jamais précisé.) -----------------------
Élizabetha se retrouva en équipe avec monsieur sadique, nouvelle étrange? J'en doute peu.
Madame Pouff: Filles aux murs, et Garçons qui bloque. Mon but en temps que prof est de vous apprendre à manipuler les gens en connaissant votre nature en séduction. Et que tout le monde parle en anglais pour le reste du cours!
Karma: J'ai des questions concernant Samedi.
Mystère: Et tu n'auras aucune réponse...
Karma: Et pourquoi donc?
Mystère: C'est une question, ça, pot de peinture.
Karma: Et alors?
Mystère: Je ne peux et ne veux pas répondre.
Karma: Mais tu me répliques en ce moment.
Mystère: Es-tu toujours aussi chiant?
Karma: Je n'ai pas le droit à des réponses, mais tu t'attends à ce que je t'en donnes?
Mystère: Ok, j'ai compris. S'il te plaît recule de 6 pas, maintenant!
Karma: Pourquoi devrais-je?
Mystère: C'est bon, j'abandonne. En vérité, t'es qu'un sadique!
Karma: Faut pas avoir honte de soi, blondinette. Es-tu enfin prête á me répondre concernant Samedi?
La jeune femme en question jouait dans ses cheveux, peu à l'aise de leur proximité et de la question tout simplement. Le roux passa son index le long de la mâchoire de la blondinette, regardant ses yeux vairons qui tentaient de le fuir. Il laissa donc son pouce se poser sur le menton de la pouffanovitch.
Karma: Tu tues depuis combien d'années?
Mystère: Cela s'appelle «de l'expérience d'assassinat» sinon pour répondre à ta question; Je m'entraîne depuis que j'ai 7 ans.
Karma: Ça doit pas faire longtemps, vu ta taille!
Mystère: Comment dois-je le prendre?!
Karma: Comme tu veux, petite fille.
Mystère: Tu comptes faire le con longtemps?
Il eu un silence, les seuls bruits qu'on entendait dans la classe était les rires de kayano et Okuda, puis les tapements de talons de Irina Pouffanovitch. Peu de temps passèrent que personne ne put se retenir de rigoler à pleine gorge. - - - - - - - - - Pendant le cours de grammaire, la fenêtre étant ouverte, le vent venait caresser les épaules des élèves. Les cheveux un peu plus long de certaines filles voletait un peu, démontrant leur volume. Un regard bleuté et rougeoyant semblait être perdu et si lointain. Plus qu'on l'imaginerai, elle pensait à tout et rien. 1000 et une pensées passait dans sa tête en ce moment. Le meurtre et karma était 1000 d'entre elle. La petite dernière n'était en fait que son estomac qui passait un message d'urgence. LA Faim! Une chance que Karma était à l'autre bout de la classe, loin d'elle, ainsi elle pouvait penser à tout et rien sans que le roux n'ait d'idée de ce qu'elle pense, en cas de faces plus étranges. - - - - - - - - - - - - - - - -
Lors de l'heure du midi, Élizabetha se retrouva toute seule, toujours entrain de penser comment faire taire Akabane. En passant, Pourquoi n'était-Il pas en français? Sûrement un meeting de quelque chose. Avec ses standards, elle n'aurait pas été surprise de voir la face du tampon usagé dans un magazine de mode ou un truc du genre. C'est alors qu'une jeune femme aux cheveux nacrés de blanc et yeux rouge arriva.
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Il ne tarda peu pour qu'elle saute afin de câliner la jeune fille aux yeux vairons.
?: Mystère!! Comment vas-tu?! J'ai appris les nouvelles concernant ton changement de classe, au moins ils doivent être gentil?
Mystère: T'inquiète pas Harohaka, tout va super bien, pour commencer, et deuxièmement, ils sont... étranges?
Haro: Dans quel sens? - - - - - - - - - - - Une fois le dîner finit et que tout le monde s'était changé, tous allèrent dehors pour pratiquer le maniement des armes. La blondinette put littéralement s'endormir et Avoir un À+. Ou plutôt... c'est ce qu'elle croyait.
Mystère: NoN mAiS sAlE lAmA aLbInO uNiJaMbIsTe QuI dAnSe SuR lE dOs De MoM qui eSt NuE dEvAnT uN hOmMe RaNdOm-
Prof aux cheveux noirs dont j'ai oublié le nom: Mademoiselle pouffanovitch, cela suffira, je crois. On en a assez entendu. Je comprends votre énervement, mais chacun à le droit à sa vie privée. Maintenant, je vous prierai de reprendre l'exercice, afin d'améliorer votre note. - - - - - - - - - - - - - -
Les cours enfin finis, la jeune femme rentra chez elle, accompagnée de Harohaka, toute deux papotaient, et parfois- sans même s'écouter. Toutes deux rentrèrent chez elle, et rien d'assez intéressant à écrire se passa. 1066 mots Merci d'avoir lu, n'oublie pas de commenter!
